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est l’un des plus mauvais qui aient été donnés au
monde
moderne. « Depuis Descartes, ils ont tous cru, dit Kierkegaard, que s
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te « monstrueuse contradiction » règne au cœur du
monde
moderne, et la « pensée » bourgeoise a réussi ce tour pendable de la
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as envie de se faire assassiner. ⁂ Pendant que ce
monde
condamné tient encore debout, il serait bon d’examiner rapidement les
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souffrance et d’un isolement. Telle est la loi du
monde
, et il est admirable de l’aimer. Et la pensée n’est point soustraite
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ette volonté de vivre « humainement » que dans le
monde
entier nous voyons se dresser contre la stérilisante convention capit
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lle de la foi. Elles appartiennent à sa vision du
monde
, elles en expriment la tension créatrice, — toute création naissant d
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tzsche ne renvoient justement qu’à cette forme du
monde
qui provoquait sans répit son dégoût. L’absence de dogmatique chez Ni
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des explosions. Toute explosion de la « forme du
monde
» renvoie certes l’esprit à ce qui seul peut transformer le monde. Ma
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certes l’esprit à ce qui seul peut transformer le
monde
. Mais Nietzsche n’a pas voulu distinguer et saisir le sens dernier de
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ienté excité. Il apparaît alors comme le héros du
monde
bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le goût du néant — le re
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— le refus de la vocation — qui caractérisera le
monde
bourgeois aux yeux de l’historien personnaliste, encore que très peu
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voisin, ne devient pas prochain. Car le centre du
monde
reste « moi ». De moi à lui, je ne vois qu’une distance. Seul le rapp
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ct pur, permet une action vraie, et transforme le
monde
. Mais Nietzsche a beau se colleter avec son temps, il a beau, par dép
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re qui nous avertit que cette œuvre appartient au
monde
« bourgeois », au monde de la pensée sans mains, et des mains privées
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cette œuvre appartient au monde « bourgeois », au
monde
de la pensée sans mains, et des mains privées de pensée ? ⁂ Je ne che
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des contacts actifs que nous entretenons avec le
monde
. Le mot de dogmatique éveille en général l’image d’un squelette de mu
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des contacts actifs que nous entretenons avec le
monde
. » Etc.) Quant au paragraphe final sur mes « convoitises célestes »,
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s les joueurs perdent.) Ce coup d’épée a fondé le
monde
moderne. Monde de la simplification hâtive ; de l’expérience qui détr
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erdent.) Ce coup d’épée a fondé le monde moderne.
Monde
de la simplification hâtive ; de l’expérience qui détruit son objet ;
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r vous mourez, nous mourons tous d’ennui, dans un
monde
où rien ne se noue. Car vous mourez, nous mourons tous à la vie spiri
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ret noué. Et si vous simplifiez, vous gagnerez le
monde
, mais au prix d’une âme, la vôtre. Car vous mourez, nous mourons tous