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er : celui de naïveté. Définition du naïf dans le
monde
moderne : individu qui soutient des idées qui ne rapportent rien. En
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en fut que plus malfaisante. L’école me rendit au
monde
, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans cesse en garde contre
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s principes. Et ce fut ma seconde découverte : ce
monde
simplifié, si évident, si parfaitement soumis aux règles d’une arithm
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mis aux règles d’une arithmétique élémentaire, ce
monde
dont la Démocratie apparaissait comme l’achèvement idéal et nécessair
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et de monotone dans la conception démocratique du
monde
. Entrons, c’est pire encore. Beaucoup d’enfants ont un frisson de dég
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ecteurs des Écoles. Je le crains, dis-je ; car le
monde
ne progresse qu’à la faveur de malentendus (si tant est qu’il progres
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rt de notre Institutrice qu’un rendu. Car dans ce
monde
-là « tout se paye » comme ils disent avec une satisfaction sordide et
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famille des valeurs réalistes, sans lesquelles le
monde
s’enfonce de son propre poids dans l’abrutissement ou se laisse prend
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L’idéalisme est forcément révolutionnaire dans un
monde
organisé pour la production. Le culte des valeurs désintéressées ne p
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e l’époque exigent une organisation à outrance du
monde
, je répondrai que dans la mesure où cette exigence est satisfaite naî
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re les discours de tirs fédéraux. On a comparé le
monde
moderne à un vaste établissement de travaux forcés. L’école donne à l
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ommune de la peste rationaliste qui sévit dans le
monde
depuis le xviiie (depuis les dernières pestes noires). Si vous creus
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courant d’opinion. Et l’opinion publique mène le
monde
, paraît-il. À ce propos : que les journalistes s’engagent désormais à