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dans vingt ans tu seras délivré des peines de ce
monde
. Reste donc ferme en ta résolution. Tu porteras au ciel une bannière
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autre pèlerin. — Vient-il chaque jour autant de
monde
? Le valet. — Oh ! moi, je ne suis pas du pays. Monseigneur l’abb
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s l’appelaient. Et maintenant qu’il vient du beau
monde
, c’est frère Claus par-ci, frère Claus par-là, notre grand saint, le
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ds. 1er valet. — Pour moi, s’il vient tant de
monde
, c’est un signe que les temps sont troublés. Plus d’un attend conseil
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sont plus nombreux que jamais… L’ermite a fui le
monde
pour trouver Dieu. Et voici que le monde à présent vient à lui !
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a fui le monde pour trouver Dieu. Et voici que le
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à présent vient à lui ! Scène iii. Un héraut (précédant le c
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rie ! Qui veut être puissant et riche aux yeux du
monde
, c’est celui-là qui fait des guerres ! Je vous le dis, seigneurs : la
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re, chez vous ! Le pain est cher ! Il y a trop de
monde
partout, et jamais de travail pour nous autres. Tous. — Nous avon
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loue Dieu et vit de sa parole, la victoire sur le
monde
est à lui ! Le pèlerin. — Est-ce là ton dernier mot ? Nicolas.
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. (Chœur à bouche fermée.) Ainsi les affaires du
monde
, des plus humbles jusqu’aux plus grandes, vont retentir dans ta pure
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retentir dans ta pure solitude, ô toi qui fuis le
monde
pour trouver la seule chose nécessaire ! Et voici qu’au jour du dange
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même à tes enfants, je t’en supplie ! Le chant du
monde
éclate à leurs oreilles et les rend sourds au cri du vieux guetteur !
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ier te recevra ! Nicolas. — J’ai dit adieu au
monde
, pour toujours. Haimo. — Mais le monde angoissé te rappelle !
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ieu au monde, pour toujours. Haimo. — Mais le
monde
angoissé te rappelle ! Nicolas. — Heureux l’homme qui trouve sa p