1
ncipaux facteurs de crise qui sont en jeu dans le
monde
d’aujourd’hui, de décrire leurs liaisons réelles ou alléguées, d’éval
2
là même qui déclare la mise en crise virtuelle du
monde
moderne tout entier. Les jeux sont faits Au train où elle va, l
3
milliards en 2000. Mais si, comme on le voit, le
monde
occidental, convaincu du danger et décidé à faire mentir les prévisio
4
son taux de remplacement bien avant l’an 2000, le
monde
sous-développé suivant à grand retard, la population mondiale pourrai
5
ope aurait à peine progressé de 10 %, le reste du
monde
occidental plus le Japon de 40 %, et le tiers-monde aurait triplé. L’
6
q continents8. Selon Toynbee, l’ancienne carte du
monde
, où l’on voyait des points marquants les villes, entourées de prairie
7
taux toujours croissant de l’urbanisation dans le
monde
entier. Or, la tendance, déjà, paraît être au reflux dans le pays-pil
8
t lieu de la plus grande société d’automobiles du
monde
entier : « Détroit est presque paralysée par la crise de l’automobile
9
is dans le journal de ce matin : « Il ne reste au
monde
que huit ans pour se préparer à faire face à une diminution de la pro
10
t à tout le monde et « la meilleure des choses au
monde
» selon Pindare, à la garde, si l’on ose dire, de nos États, c’est-à-
11
aque le système nerveux21. Déjà « la faim dans le
monde
» est une rubrique régulière de la grande presse : on sent qu’elle es
12
’y a donc d’« impératifs techniques » que dans un
monde
où la croissance technologique est tenue pour impérative — parce que
13
l’État risque une baisse de prestige… Dans un tel
monde
, toute innovation technique servira fatalement les causes mêmes du ma
14
ourrait améliorer quoi que ce soit, sinon dans un
monde
justement où elle ne serait plus impérative : dans un monde qui se se
15
ement où elle ne serait plus impérative : dans un
monde
qui se serait donné d’autres finalités que celle de la croissance et
16
ant à son profit ce qu’il tient pour « l’ordre du
monde
». Cette action risquée crée une dette, une culpabilité qui appelle r
17
té et se vouloir irresponsable. C’est supposer un
monde
où le mal n’existe pas, mais seulement la faute de calcul, « l’incide
18
gavage. Bien plus grave est la propension dans le
monde
des affaires, et les bureaux de l’État, à remplacer par de « l’inform
19
d’eux », à cause de leur péché contre l’ordre du
monde
, qui est aussi la loi du Père, et voués au « retour à la poussière d’
20
de fuite en avant. La croissance, religion du
monde
moderne La preuve que la croissance est devenue la vraie religion
21
ue la croissance est devenue la vraie religion du
monde
contemporain en tant que monde déchristianisé ou plus généralement de
22
vraie religion du monde contemporain en tant que
monde
déchristianisé ou plus généralement despiritualisé, nous l’avons dans
23
stes, sociologues, industriels et technocrates du
monde
entier ont entendu parler pour la première fois de ralentir, de contr
24
se l’incertain au probable) et le concept même de
monde
fini (je n’invente pas !33). Dans ces furieuses réfutations c’est la
25
mité ne peut avoir qu’un temps très court dans le
monde
fini. La difficulté de réagir et de reprendre en main les commandes t
26
n beau jour positive dans tous les États de notre
Monde
, c’est-à-dire que la somme des exportations excède la somme des impor
27
11. Motion adoptée le 25 mai 1973, citée par Le
Monde
du 27-28 mai 1973. 12. Prix des logements et des transports jusqu’au
28
nuit du 14 au 15 avril, le plus grand paquebot du
monde
, le Titanic, au nom provocateur, quitte le port de New York pour son
29
de ne commencera pas avant quelques années ». Le
Monde
du 18 février 1976 précise que « tandis que le monde occidental const
30
de du 18 février 1976 précise que « tandis que le
monde
occidental construit des dizaines de centrales nucléaires, il n’exist
31
tution de l’électricité nucléaire au pétrole… (Le
Monde
, 24 janvier 1975.) On ne « répond » donc pas aux besoins, on les sus
32
idge, A. Weinberg, il faudrait construire dans le
monde
4 réacteurs par semaine durant les cent prochaines années pour attein
33
Si vous perdez, vous perdez tout et pour tout le
monde
. Si vous gagnez, vous gagnez trois heures pour quelque 70 PDG. Pari é
34
démodée de la vitesse et du fracas pour épater le
monde
. Ce qui commence à valoir des fortunes, c’est le contraire de ce que
35
50. Albony et Bessière, collaborateurs d’EDF, Le
Monde
, 8 juillet 1975. EOS, qui est un analogue suisse d’EDF, déclare de so
36
léaire, Stock, Paris, 1975, p. 319. 55. Selon Le
Monde
du 16 janv. 1976. 56. Aujourd’hui, Air France et la SNIAS publient q
37
ormant la « mégamachine » chargée de gouverner le
monde
de demain. 58. « Staline, ô toi qui fais lever le soleil ! » psalmod
38
cles d’âge, si l’on remonte à leur entrée dans le
monde
, c’est-à-dire à leur accouchement par les soins de la Révolution fran
39
tiques : la formule de l’État-nation a conquis le
monde
en moins de deux siècles. Ailleurs, on a d’autres faiblesses typiques
40
e guerre sont anormaux, ne peuvent durer, dans le
monde
des États-nations qu’ils finiraient par priver de leur secrète mais v
41
u président des USA tient à ce droit que, seul au
monde
, il a. Mais loin de conférer au président le pouvoir le plus grand ja
42
nt ne pourrait aujourd’hui qu’écraser beaucoup de
monde
, faute de structures d’accueil extérieures au système. Il s’agit sans
43
niveau des empires véritables qui dominent notre
monde
, et surtout pour résister à la satellisation politique ou économique.
44
ficacité de sa participation dans les affaires du
monde
[…]. Parce qu’ils sont trop petits, les États-nations devraient se fé
45
rgie, qui, en Europe, dépend à 80 % (USA 30 %) du
monde
arabe. Tous affirmaient cependant — surtout s’il s’agissait de repous
46
État ont une rencontre intime sous les regards du
monde
entier, à Camp David ou dans quelque datcha, pour « examiner les grav
47
hommes d’État, deux « responsables de la Paix du
Monde
» en train de chercher les moyens de prévenir une catastrophe qui men
48
ur « assurer sa présence » dans telles parties du
monde
, Corée, Vietnam, Proche-Orient, où bien peu de ses citoyens eussent e
49
Paris, 12-18 fév. 1973. 61. Compte rendu dans Le
Monde
du 18 sept. 1973. Peu de progrès depuis lors. 62. « La machinerie de
50
s proche de son succès qu’ait fourni jusqu’ici le
monde
occidental, c’est celui de dominer la nature par la science, dans l’e
51
et aux morales qui en dérivent. La conception du
monde
la plus courante aujourd’hui est celle que les Occidentaux tiennent p
52
Planète. Pour la première fois dans l’histoire du
monde
, il n’y a plus qu’une seule civilisation (l’occidentale, enrichie d’a
53
res, Apocalypse — annonce l’avenir global tant du
Monde
que de l’homme. Entre l’alpha et l’omega du temps, les Écritures déro
54
grinant à travers un empire « qui passera », un «
monde
» qui les tente mais dont ils ne sont pas et qui les rejette, alors q
55
contemporains. Aldous Huxley dans Le Meilleur des
mondes
et George Orwell dans 1984, évaluent le succès social, psychologique
56
esoin qui, peut-être, s’en faisait sentir dans le
monde
romanisé du iiie siècle ? Non, car l’appel au Christ plutôt qu’aux d
57
lité de son angoisse. Ce qui va se passer dans le
monde
s’annonce au cœur de l’homme et peut s’y lire d’abord, car c’est là q
58
il n’y aurait plus de politique possible dans un
monde
soumis aux seuls « impératifs » de la technologie et du profit compta
59
Les jeunes gens d’aujourd’hui n’imaginent pas le
monde
et la vie quotidienne sans l’auto, ni par suite que l’auto puisse avo
60
tions d’un jeune paysan son ignorance du reste du
monde
, son puritanisme naïf, et le soutien de la morale utilitaire qui règn
61
individu au travail efficace « qui est la base du
monde
». Son fameux modèle T sera donc robuste et laid, mais bon marché, fa
62
e, « le Juif international qui conspire contre le
monde
entier100 », et surtout la guerre. La plupart de ses initiatives pour
63
rre. La plupart de ses initiatives pour sauver le
monde
échoueront dans le ridicule, ainsi la croisière-croisade pour la Paix
64
Ford Company sont les deux plus grandes firmes du
monde
. À peine âgée d’un demi-siècle, l’industrie de l’auto domine la conjo
65
sté jusqu’à ce jour l’un des plus faibles dans le
monde
des machines : les voitures américaines rejettent par les tuyaux d’éc
66
s de 25 ans aux États-Unis. Il y a certes dans le
monde
plus de morts par le cancer que par l’auto, mais un grand nombre de c
67
et le colonel de gauche qui déclare au journal Le
Monde
qu’il peut « détruire l’économie européenne ». Les émirats détenaient
68
s de dollars qui chercheront où se placer dans le
monde
, une fois saturés les modestes réseaux d’autoroutes et les capacités
69
de l’auto. Mais Henry Ford réussit à l’imposer au
monde
en quelques dizaines d’années, et voici nos villes invivables, le bét
70
purement fortuits (comme la localisation dans le
monde
arabe des principaux gisements pétrolifères). Surtout comment prévoir
71
eux séries que je nomme l’auto et Hitler, dans le
monde
arabe, premier fournisseur de pétrole, alors que Hitler lui-même n’ét
72
ien sûr résulté sous nos yeux du conflit entre le
monde
arabe, détenteur d’un produit valorisé par le succès mondial de l’aut
73
yeux. » Je prends Henry Ford comme un symbole du
monde
moderne, et le meilleur, parce que personne ne s’est approché plus qu
74
lus que lui du type idéal de l’industriel dans le
monde
capitaliste. Le succès immense de ses livres, sa popularité universel
75
qu’il sent immuable comme la mort le restitue au
monde
vers cinq heures du soir, dans la détresse des dernières sirènes. Au
76
soir, dans la détresse des dernières sirènes. Au
monde
, c’est-à-dire à une nature dont l’usine lui a fait oublier jusqu’à l’
77
ne peut plus situer son effort individuel dans le
monde
, lui attribuer sa véritable valeur. Il sent obscurément que son trava
78
nent par le seul fait de rester eux-mêmes dans un
monde
fordisé, des anarchistes. Car l’Esprit n’est pas un luxe, n’est pas u
79
es que le développement de la technique impose au
monde
moderne. » Ces êtres, d’une espèce de plus en plus rare, qui savent e
80
ie, “la vie les prend”. » Irréguliers aux yeux du
monde
; la proie d’on ne sait quelles forces occultes sans doute dangereuse
81
au xxe siècle jusqu’au rang de deuxième Grand du
monde
. Tocqueville l’annonçait, en revanche, sur un ton de lucidité désabus
82
verse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du
monde
: il ne les connaîtra jamais. Il ne verra que d’aveugles façades… La
83
ait peut-être nécessaire pour faire comprendre au
monde
entier qu’il est des victoires impossibles110… » Enfin, on peut lire
84
me intelligent, si cela compte en lui le moins du
monde
, il ne vaut rien pour un destin pareil. En ce sens démoniaque du term
85
i ont produit les plus grands changements dans le
monde
ont été trouvées non pas dans la connaissance scientifique, mais dans
86
s politiques du même ordre mal étouffés dans le «
monde
libre ». Les enlèvements suivis d’assassinats délibérés d’enfants, de
87
des communautés, des régions ; ou bien étendre au
monde
entier une dictature dont Orwell donne l’idée, et l’ordinateur les mo
88
prit communautaire… Que l’homme rencontre dans le
monde
actuel des contraintes partout multipliées et des raisons toujours pl
89
les trompant sur leurs besoins réels. La crise du
monde
occidental est née de cette falsification introduite au cœur même de
90
on lieu, sur les siens, mais aussi de s’ouvrir au
monde
des autres ; capable de durer mais aussi de changer sans perdre son i
91
e : si ce n’est lui, quelle serait la mesure d’un
monde
qui n’est pas naturel mais fait par lui, monde de l’histoire et de l’
92
un monde qui n’est pas naturel mais fait par lui,
monde
de l’histoire et de l’économie, de la technique, des villes, des cult
93
ique de l’homme moderne : s’avouer responsable du
monde
qu’il a fait. Comme Adam lorsque Dieu l’interpelle ; il se cache, il
94
sa maturité. Un certain équilibre entre soi et le
monde
, un déséquilibre orienté, ou assumé. Une manière de regarder ou d’êtr
95
ler mais de séduire. Ce n’est plus de « tenir son
monde
» mais de servir les habitants de la cité. Gouverner par orientation
96
ue je nierais donc cette nécessité de « tenir son
monde
», qui justifie les forces armées, lesquelles exigent l’industrie lou
97
en sorte que l’État se voie réduit à « tenir son
monde
» au lieu de servir la cité. La règle d’or du civisme : point de libe
98
re la paix ». Elle n’est donc limitée par rien au
monde
, si ce n’est la « volonté de Dieu », dont on nous déclare aussitôt qu
99
sprit nous avertira d’un danger : ici commence un
monde
étrange, ici règne une nation dont nous ne sommes pas, et qui nous es
100
, dans l’indistinction de la transe qui sépare du
monde
et de soi ? La passion n’est pas l’amour vrai, ne voit pas l’autre, n
101
pendent encore pour subsister dans leur refus. Un
monde
de solitaires est concevable, mais ce serait nécessairement celui de
102
us personne avec qui partager. Seul et dernier au
monde
, sans possibilité d’aimer, je vis l’enfer. Mais si l’aimée subsiste d
103
moraves, amish, etc., poursuivant dans le Nouveau
Monde
des traditions subversives plus anciennes et moins spécifiquement com
104
iante défaite d’une lente et sûre adaptation au «
monde
», comme ce fut le cas d’Oneida : passant par étapes du régime de la
105
t fonda de la sorte soixante-dix colonies dans le
monde
méditerranéen. La centaine de permanents de Longo Maï reçoit chaque a
106
la colline clunisienne rayonne à bas bruit sur le
Monde
le message de la Réconciliation, nom de l’église construite par les m
107
ël, des milliers de jeunes gens viennent à eux du
monde
entier — 80 000 cette année — pour parler des choses de l’Esprit, pou
108
sité qu’il y ait aussi cela, quelque part dans le
monde
en tumulte indécis, cette île de l’esprit, ce port qui se referme, ce
109
de grand par les grands ? Je vois mal. Le sort du
Monde
se joue sur la communauté. Or, point de communauté passé telles dimen
110
153. H. Fizbin, député (communiste) de Paris, Le
Monde
, 27 avril 1976. 154. Cf. Robert de Caumont et Marc Tessier, Les Grou
111
uples, non d’une coalition de leurs tyrans. Le
Monde
appelle les régions comme antidote du virus européen En tant que p
112
issance colonisatrice, l’Europe a répandu dans le
monde
entier la formule de l’État-nation (imitée aujourd’hui à quelque cent
113
e première, c’est en faire la victime désignée du
monde
de l’uniformité subie, de la banalité aisément exploitée, de la passi
114
la vie même ; je vois l’anxieuse aspiration à un
monde
entièrement calculable, métallique, cristallin, abstrait ; je vois un
115
Elle nous aidera à nous délier de « ce rapport au
monde
défini par la technique » dont Heidegger a décrit le premier les vert
116
tarcie, et par ce qu’elle devra remplacer dans le
monde
de demain, à savoir les nationalisations ou l’étatisation. L’autarcie
117
tion civique où l’homme puisse devenir présent au
monde
et à soi-même conjointement. La plupart des difficultés qu’éprouve un
118
ne espèce de vertige insupportable. Leur image du
monde
se brouille. Inutile de faire ici, après tant d’autres, l’analyse de
119
fois le pire désordre et le crime le plus cher du
monde
— celui par excellence qui ne paie pas. Au surplus, cette souverainet
120
onger sérieusement. « Rien ne se fera plus que le
monde
entier ne s’en mêle », écrivait Valéry, dans les années 1930, et il c
121
survie de l’Occident, et ses conséquences pour le
Monde
. — « Vous croyez donc qu’une simple modification de la structure admi
122
es seuls intérêts et tant pis pour l’Europe et le
Monde
, et tant pis pour ses propres régions ; en bloquant le plus clair de
123
ur autonomie. 168. Paul Valéry, Regards sur le
monde
actuel (chap. Des Partis), Paris, 1945. 169. Alexis de Tocqueville,
124
tats : c’est ce qu’on oublie généralement dans le
monde
stato-national et dans son système de valeurs. Une vraie fédération n
125
rs. L’Amérique est l’exemple mémorable, unique au
monde
, d’une nation qui s’est constituée en rupture de passé et pour l’aven
126
e du genre humain ou sera capable de présenter au
monde
le modèle d’une civilisation post-industrielle équilibrée. Voilà qui
127
t dans notre environnement physique, mais dans le
monde
moral, dont cet environnement matérialise les structures et les valeu
128
s non pour l’État-nation mais pour l’Europe et le
Monde
, et donc d’abord pour la région, l’ai-je assez dit. Commencer l’étude
129
ontrôler, à questionner dans le réel, non dans le
monde
des slogans. L’éducation me paraît chargée d’une responsabilité nouve
130
guerre civile n’est « gagnée ».) Quelle force au
monde
pourra mouvoir l’école d’État ? Le salut peut nous venir du danger, l
131
es chances à la fois de l’Europe et de la paix du
monde
, je ne sais rien de plus urgent que de leur faire voir qu’ils restent
132
raliste de Montreux en 1947 : « Il n’y a, dans le
monde
du xxe siècle, que deux camps, deux politiques, deux attitudes humai
133
azan : vous comprendrez ce que tous les autres au
monde
ont si nettement et rageusement compris tandis que vous vous complais
134
que psychique. La non-violence est l’ouverture au
monde
, à l’autre, tandis que toute violence, en dernière analyse, est une f
135
? J’ai toujours estimé que nous ne sommes pas au
monde
pour essayer de deviner l’avenir. C’est à le faire que nous sommes ap
136
nsion des régions fédérées en Europe puis dans le
Monde
, et de la décadence de l’État-nation. Envisageons trois scénarios pos
137
hilosophes jusqu’ici n’ont fait qu’interpréter le
Monde
, or il s’agit de le transformer ? Marx, auteur de cette phrase, n’a t
138
? Marx, auteur de cette phrase, n’a transformé le
Monde
qu’à la mesure de ses moyens de philosophe, c’est-à-dire en l’interpr
139
pour l’Europe fédérée, une Europe fédérée pour le
Monde
, le tout au bénéfice de la personne. — Comment pensez-vous y arrive
140
seule vertu d’être là. Écoutons Baudelaire : Le
monde
va finir. La seule raison pour laquelle il pourrait durer, c’est qu’i
141
e, particulièrement à celle-ci : qu’est-ce que le
monde
a désormais à faire sous le ciel ? Dans les partis, tout peut change
142
ts. Si elles sont assez grandes pour réveiller le
monde
, pas assez pour tout écraser, je les dirai pédagogiques, seules capab
143
ute l’Europe, et soixante ans pour le propager au
monde
entier. Mais depuis qu’il sévit, à cause de lui, tout s’accélère vers
144
e par une commission américaine. » Regards sur le
monde
actuel, Gallimard, Paris, 1945. 186. Je rappelle que les régions fro
145
itats — in extremis. Mais que serait la beauté du
Monde
sans l’œil de l’homme ? C’était si beau, la Terre de la Vie, bleue, v
146
sera fonction de la chose la moins prévisible du
monde
, qui est la vitalité d’une société. Mais il nous faut pousser l’analy