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, religieux, qui ne modifie les conditions du jeu
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et ne soit destiné à réagir, à plus ou moins longue échéance, sur le
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C’est ainsi que se formera cette opinion publique
mondiale
qui seule nous permettra de dominer la cause unique des guerres depui
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stacle majeur à l’établissement d’un gouvernement
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, c’est la méfiance systématique des Soviets. Or je crains qu’il n’y a
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que tous les autres pays forment une organisation
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solide, sans l’URSS. — Vous entendez : en offrant aux Russes une invi
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rejoindre ? — Mieux que cela : cette organisation
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sera bientôt si forte, une fois éliminés les résistances ou le sabota
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en me levant, le premier pas vers un gouvernement
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, c’est-à-dire vers la fin de la féodalité des États-nations. — La rou
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estion d’États-Unis d’Europe ou d’un gouvernement
mondial
. Rien de plus banal, si ce n’est les objections qui surgissent aussit
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ger l’initiative d’une fédération continentale ou
mondiale
. L’échec de Napoléon, puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour
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eur. En d’autres termes, si Ambre est un triomphe
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qui réduit à néant ceux de Miller à Paris, c’est que la majorité du g
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européenne imaginable qu’en vue d’une fédération
mondiale
. Il n’y a de paix et donc d’avenir imaginable que dans l’effort pour
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dans l’effort pour instaurer un vrai gouvernement
mondial
. Et le monde, pour ce faire, a besoin de l’Europe, j’entends de son e
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a paix, je vous le demande, qu’un idéal fédératif
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? C’est pourquoi, sans reculer devant l’apparence d’un calembour, mai
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r, je dirai, songeant à l’Europe et à sa vocation
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, et je vous invite à le dire avec moi : Je pense, donc j’en suis !
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iècle : il peut offrir le modèle même d’une union
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dans le respect des diversités nationales. Que dis-je, il peut ! Il l
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que tous les autres pays forment une organisation
mondiale
assez solide pour que l’URSS finisse par se rendre compte que son ava