1
és sans retour. Enfin, n’oublions pas l’influence
mondiale
de la pensée théologique de Karl Barth : elle dépasse largement les l
2
gloires ayant atteint le niveau européen, ou même
mondial
, dessinerait un profil caractéristique par ses dépressions autant que
3
Nobel pour les sciences, se place au premier rang
mondial
, et de très loin, relativement à sa population (Hollande : 9 prix Nob
4
ger l’initiative d’une fédération continentale ou
mondiale
. L’échec de Napoléon, puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour
5
mes nationales, mais d’assumer aussi leurs tâches
mondiales
. ⁂ III. Dialectique du fédéralisme Comme toutes les grandes idé
6
âches mécanisables ; b) de manifester à l’échelle
mondiale
la vocation générale des Européens, c’est-à-dire de donner une Voix à
7
ais s’ouvre aux dimensions continentales, et donc
mondiales
. S’ils veulent sortir de l’Europe, vers l’Afrique ou l’Asie, les Amér
8
er la vocation générale des Européens à l’échelle
mondiale
: droit à l’Union. L’Europe fédérée se présente, en conséquence, comm
9
t les échanges toujours plus intenses à l’échelle
mondiale
. Ce processus dans lequel la fédération joue un rôle d’intermédiaire
10
répartition intérieure, et d’échanges à l’échelle
mondiale
. Elle soutient et harmonise les plans d’aménagement du territoire en
11
, à la Réforme ou à l’Église catholique, qui sont
mondiales
; par sa langue, au domaine français, et par sa culture, aux sources
12
qui l’a posée. Le monde issu de la Seconde Guerre
mondiale
a vu surgir, en lieu et place de la prépondérance des États de l’Euro
13
rs qui vont bientôt incomber à l’Occident au plan
mondial
, tels que l’aide aux pays sous-développés, ou l’intervention effectiv
14
trouvent pour déclencher, après la Seconde Guerre
mondiale
, le mouvement qui aboutit au congrès de Montreux (1947) suivi par le
15
onsacrés à notre question après la Seconde Guerre
mondiale
— c’est le Fédéralisme contemporain, par Henri Brugmans et Pierre Duc
16
es moyens ? ⁂ Des lendemains de la Seconde Guerre
mondiale
jusqu’aux environs de 1960, il faut reconnaître que nos autorités et
17
celui de notre responsabilité européenne et même
mondiale
en tant que Suisses, et comme État qui entend garder une raison d’êtr
18
ement positive et tellement opportune à l’échelle
mondiale
? Pourquoi cette timidité ? L’histoire n’est pas faite par des gens q
19
avion). Mais le point final de la Deuxième Guerre
mondiale
, qui fut une guerre motorisée, est posé par la bombe d’Hiroshima, déb
20
ment la nation et deviennent continentales, voire
mondiales
. Dans cette évolution, on peut se demander si l’élargissement de la g
21
lismes en 1914 qui a déclenché la Première Guerre
mondiale
, et non pas la mitrailleuse, ou ces avions biplans qui volaient tout
22
aviateur en 1915.) Mais de cette Première Guerre
mondiale
sont issus très rapidement le bulldozer et l’avion de ligne. Et ce n’
23
gouvernements, qui a déclenché la Deuxième Guerre
mondiale
, mais au contraire, c’est sa réalisation par Fermi et Oppenheimer qui
24
ique de l’Université de Lausanne, lors du congrès
mondial
de ce groupement, le 18 septembre, en l’aula de l’EPUL. »
25
upranationaux, de conventions passées à l’échelle
mondiale
; c) Problèmes sociaux, démographiques et culturels, en tant qu’ils r
26
fédéralistes, au lendemain de la Deuxième Guerre
mondiale
. Du moins, cette fédération de régions « immédiates à l’Europe » — co
27
ité économique, et pour jouer un rôle à l’échelle
mondiale
; trop grands pour animer toutes les parties de leur territoire, et s
28
ls sont trop petits si on les regarde à l’échelle
mondiale
. Ils sont trop grands si l’on en juge par leur incapacité d’animer le
29
fédéralistes, au lendemain de la Deuxième Guerre
mondiale
. Du moins, cette fédération de régions « immédiates à l’Europe » — co
30
eau municipal, régional, national, continental ou
mondial
) ; 3° à admettre une pluralité d’appartenance ou d’allégeances, confo
31
ussi protestant, ce qui représente une allégeance
mondiale
(ce serait pareil si j’étais communiste, ou catholique, évidemment).
32
ération canadienne. Il faut aller jusqu’au niveau
mondial
. Mais revenons à l’Europe. Là-bas, il est bien certain qu’on n’arrive
33
tres continents à découvrir et les futurs marchés
mondiaux
. VI Et maintenant, comme l’Aar nous l’enseigne avec force, qui
34
Amérique latine, cependant qu’une volonté d’union
mondiale
anime les Nations unies et l’Unesco, le Conseil œcuménique des Église
35
otre Europe n’est plus en mesure de jouer un rôle
mondial
, d’assurer seul sa défense, de se nourrir seul, au spirituel comme au
36
oin les plus forts, dépendent autant de l’opinion
mondiale
que celle-ci du dollar ou de la télévision. Une interdépendance unive
37
e unitaire que ce double mouvement de convergence
mondiale
et de diversification locale ne mette en crise permanente. 855 votes
38
r par des mouvements de convergence européenne et
mondiale
, même s’ils disent s’inspirer du propre exemple de la fédération des
39
(communale, régionale, nationale, continentale ou
mondiale
, selon les cas), il ne reste qu’à désigner le niveau de compétence où
40
erminer au seuil sanglant de la Première Guerre «
mondiale
». Il l’avait vue venir. Il écrivait : « Ah ! la guerre n’est pas mor