1 se de civilisation désormais déclarée à l’échelle mondiale . Car c’est bien de cette crise mondiale qu’il s’agit aujourd’hui, et

2 ’échelle mondiale. Car c’est bien de cette crise mondiale qu’il s’agit aujourd’hui, et avant tout, de s’occuper ; non plus seul

3 vous. Je vous rappellerai seulement que la crise mondiale — et c’est je crois sa formule la plus simple — est née de la volonté

4 nu de 20 000 dollars par tête pour une population mondiale de vingt milliards d’habitants vers 2050. Mais là, il ne s’agit plus

5 bérées, en vue d’une action précise sur l’opinion mondiale . Herman Kahn est l’auteur, avec Anthony J. Wiener, d’un ouvrage célèb

6 ujours inattendus » on trouve : Première Guerre mondiale . Destruction d’une partie de l’Europe. Les États-Unis deviennent la p

7 . Les États-Unis deviennent la première puissance mondiale . Baisse du moral de l’Europe (et de la démocratie et de son prestige

8 monde, l’industrie automobile domine l’évolution mondiale des industries. Or elle est née, cette industrie n° 1, du fantasme d’

9 nu à 80 % par les pays arabes, voilà la politique mondiale et l’existence même d’Israël, par exemple, subordonnées en fait à la

10 les, jusqu’à nos jours. Enfin, la crise monétaire mondiale est due principalement, m’expliquent des banquiers, aux milliards de

11 de Rougemont, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale , a contribué “à mettre l’Europe sur ses rails” en organisant notammen

12 ffronter les premières manifestations d’une crise mondiale que tous les augures nous annoncent, et voici le paradoxe de notre si

13 n interaction précise avec les causes de la crise mondiale , dont le rapport du club de Rome décrivait les symptômes matériels et

14 ntal : celui de la croissance illimitée. La crise mondiale , et la carence politique des Européens s’originent l’une et l’autre d

15 ontre, que devons-nous attendre ? Face à la crise mondiale née de nos œuvres, à nous Européens inventeurs des machines, du DDT e

16 et de notre table ronde : pour sortir de la Crise mondiale , de ses contradictions et de ses impasses, il faut des choix. Il faut

17 nos choix, et définit leur sens. Face à la Crise mondiale , nous avons l’impression que quelque chose a été faussé dans l’échell

18 ntre le particulier et le général, le local et le mondial , l’individuel et l’universel, conflit qui l’incite à créer de proche

19 supérieur, continentales le plus souvent, parfois mondiale . C’est ainsi que le CERN est né, parce que les dimensions de la tâche

20 ments de la culture européenne. Après la création mondiale , dans le chœur de la basilique, du Cantique en l’honneur de saint Mar

21 e prendre en charge et de porter devant l’opinion mondiale le cas de l’écrivain Vladimir Boukovski qui, aux dernières nouvelles,

22 dit sur ses fauteurs. Or, le principe de la crise mondiale réside, à l’évidence, dans une mauvaise gestion de la terre : polluti

23 délinquance généralisée, vers l’État totalitaire mondial dirigé par un Grand Ordinateur. Ou bien des groupes d’hommes, qui se

24 abilité. Il s’est noué pendant la Première Guerre mondiale . « Neutres, mais non pas pleutres ! », déclaraient fièrement nos publ

25 to domine la conjoncture et détermine l’évolution mondiale de presque toutes les autres industries. Et cette automobile, pour la

26 Situation du pays au sortir de la Seconde Guerre mondiale Seule rescapée avec la Suède des deux grandes guerres du xxe sièc

27 d poète Carl Spitteler pendant la Première Guerre mondiale , et c’est encore plus vrai après la seconde. La fierté légitime et la

28 lement depuis les lendemains de la Seconde Guerre mondiale . Mais l’illusion qui permettait de parler encore de « grandes puissan

29 e Bureau international du travail, l’Organisation mondiale de la santé, etc.). Dès 1963, la Suisse devient membre à part entière

30 de devenir, de proche en proche, européenne, puis mondiale . La Suisse face au monde Les tâches nouvelles que l’humanité do

31 a ne saurait la dispenser de choisir sa politique mondiale , et ce choix se pose entre la solidarité et l’égoïsme. Un égoïsme fer

32 aire face aux problèmes qui se posent à l’échelle mondiale — énergie, pollution, famine, paix. C’est entre ces termes extrêmes q

33 t les « nécessités » nationales, continentales ou mondiales . Je vois par exemple un parallèle frappant entre la situation de nos

34 es qu’elle n’aura pas pu éviter, car elles seront mondiales , mais contre lesquelles elle sera peut-être mieux prémunie que les gr

35 itable conclusion. Deux cataclysmes de dimensions mondiales , au xxe siècle, ont montré ce que « l’Europe des nations » savait fa

36 » savait faire. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale , tandis que le continent ruiné et disloqué essayait de reconstruire s

37 — comme déchets, selon Spengler — la civilisation mondiale du xxe siècle, technologie et pollution comprises, mais aussi le Rom

38 t à Genève, peut être considéré comme la capitale mondiale de la psychologie génétique et de la pédagogie scientifique du xxe s

39 même… L’Amour et l’Occident fut un best-seller mondial traduit en dix-sept langues. Et le titre de votre dernier livre — L’

40 , nous conduire à l’asphyxie et à l’embouteillage mondial . Bien sûr, je caricature. Mais enfin… Cela me fait penser au vers de

41 ensemble plus vaste. Européen d’abord, peut-être mondial plus tard. Le règne de l’État-nation dans ses dimensions européennes

42 and classique, L’Amour et l’Occident . Ce succès mondial est à l’origine d’un malentendu qu’il a voulu dissiper dès les premiè

43 ment de l’Histoire ont dépassé la Deuxième Guerre mondiale , ses ruines, ses massacres ses exterminations. Si j’ai bien compris l

44 , le chômage, l’inflation. La crise de l’Occident mondial a pour critère spécifique de résulter non de l’échec mais de la réali

45 quer l’inévitable explosion de la Première Guerre mondiale . L’holocauste de vingt millions d’Européens qui s’ensuit pose des qu

46 ans cesse confronté avec le devenir de l’économie mondiale  ». C’est à Montreux enfin que naît l’idée d’un rassemblement de tous