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s comme la protection des océans, à la fédération
mondiale
. Le fédéralisme préconise donc de résoudre chaque problème au niveau
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n particulier, on ne comprend pas comment la paix
mondiale
peut être défendue par les armes nucléaires, premier moyen que les ho
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aire. Mais, aujourd’hui, certains problèmes sont
mondiaux
: pour sauver les océans, par exemple, cela suppose une agence mondia
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les océans, par exemple, cela suppose une agence
mondiale
. Vous dites, dans votre livre L’Avenir est notre affaire , « la cont
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t que le problème de la vie sur Terre est ou bien
mondial
, ou bien régional. C’est la vision des « Verts » ! Les régions, naiss
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artiens donc aussi à une autre communauté qui est
mondiale
et n’a pas de frontière délimitée. J’appartiens à l’école personnalis
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vidus égoïstes qui sont des criminels à l’échelle
mondiale
, des gangsters… Il n’y a pas d’amour là-dedans. Ce n’est pas comme la
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conque et quasi nul en soi, phénomène d’envergure
mondiale
, tel fut l’homme, tel demeure son mystère. Les effets fracassants déc
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s seul et ils sont tous ensemble. Un désastre
mondial
Dès avant la guerre de 1939, la majorité des humains savaient qu’H
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qu’Hitler était le nom d’un désastre imminent et
mondial
. Pourtant, on ne l’a pas arrêté. Voilà le point qu’il faut élucider.
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t impossible, car cela désorganiserait l’économie
mondiale
et ferait au surplus des millions de chômeurs. Votre devise serait-el
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Jay Forrester. Ce rapport esquissait un « modèle
mondial
» qui permettait de suivre ou de prévoir les interactions en système
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Europe comme dernier palier, avant une fédération
mondiale
, requise à beaucoup d’égards, et sur laquelle aussi certains d’entre
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eux, mon allégeance va au protestantisme, réalité
mondiale
et sans frontière. (Si j’étais catholique, ou communiste, ce serait p
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uropéenne, et pour celles-là, il faut des agences
mondiales
. Je rappellerai notamment le problème de la déforestation du monde, c
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ction de l’humus : régional d’abord, mais bientôt
mondial
. Le problème des mers, des océans, de la pollution des océans, qui re
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faut donc un certain minimum d’agences fédérales
mondiales
, qui ne feront que cela, mais qui le feront bien, qui auront un pouvo
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et qui devrait à mon sens partir d’une conférence
mondiale
dont les thèmes seraient : l’humus, la protection des océans, le plan
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es. Je crois de même qu’une conférence écologique
mondiale
permanente, qui tirerait de l’examen de ces objets des conclusions éc
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ions continentales, finalement, en une fédération
mondiale
. Quel est le but général de tout cela ? C’est la paix. Si vous voulez
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: « Le vrai problème du fédéralisme est au niveau
mondial
; quelles forces externes pourront l’imposer à cette échelle ? Seules
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les pourraient imposer le fédéralisme à l’échelle
mondiale
; ni même la faim, ni même les épidémies. Les fédérations existantes
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ontinentaux de continuer à régir toute l’économie
mondiale
en vue d’une guerre jamais livrée mais entretenue par pays du tiers-m
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planète, d’abord par continents, puis à l’échelle
mondiale
; — ou de la destruction du genre humain comme de toute vie terrestre
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un certain sentiment d’urgence lié à l’imminence
mondiale
du chaos. Toute pensée désormais doit devenir action, sinon elle cour
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ître mieux, nous les Européens fauteurs de crises
mondiales
ou de mondialisation de nos propres crises, et responsables d’invente
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de persévérer en son être. La situation politique
mondiale
est en train de faire des Européens, jadis maîtres des trois-quarts d
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is-ci, ne serait pas déclenchée par eux. La crise
mondiale
actuelle est née des œuvres de l’Europe, qui a répandu sur toute la T
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de l’oxygène que nous respirons, est un problème
mondial
, qui appelle une agence mondiale. Les enfants comprennent très bien c
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, est un problème mondial, qui appelle une agence
mondiale
. Les enfants comprennent très bien cela et savent que les douaniers n