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entendre effectivement, comment rêver une entente
mondiale
, comment penser la paix ? 1. Peu d’Américains « disent » vraiment
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du 26 août au 1er septembre, en marge du congrès
mondial
de Pax Romana, entretiens entre universitaires américains et européen
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init-il son action propre ? On connaît l’Unesco :
mondiale
, gouvernementale, riche, quand nous sommes pauvres, autonomes, et eur
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des Nations unies, par conséquent de la politique
mondiale
. Survenant peu de jours après, la démission de M. Torrès-Bodet, direc
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e l’Unesco, est gigantesque. Au regard des tâches
mondiales
que l’Unesco s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l
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régionaux (comme on dit à l’Unesco) et non point
mondiaux
. 2. Centralisé. La réalité de la culture ne se trouve ni dans l’ind
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non point d’une organisation abstraite parce que
mondiale
, et condamnée par ses dimensions même à la bureaucratie comme aux int
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ational qui comprend des compositeurs de renommée
mondiale
. Ont déjà accepté d’y participer MM. Igor Stravinsky, Samuel Barber,
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vrais secrets d’une civilisation qu’elle a rendue
mondiale
; affaiblie par sa division mais déjà parvenue à la veille de s’unir,
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’il n’est pas un des responsables de la politique
mondiale
des États-Unis qui souhaite nous réduire à l’état de satellites. Mais
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e pour sauver le foyer d’une civilisation devenue
mondiale
, qui nous dépasse en tant qu’individus, et qui dépasse chacune de nos
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tinentaux, des grands marchés, et de la stratégie
mondiale
. Nous nous sentons, en conséquence, trop petits pour le siècle, et co
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rtes, cette vaste organisation gouvernementale et
mondiale
s’occupe parfois sur un plan « régional » (en l’occurrence européen)
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e en charge ni « dupliquée » par une bureaucratie
mondiale
, si riche soit-elle. Le danger n’est pas là… — À quel danger pensez-v
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aît simplement démente, si l’on a vu la situation
mondiale
— et si l’on n’est pas communiste. Seule une profonde révolte de l’Eu
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s empires, des grands marchés, et de la stratégie
mondiale
. Nous nous sentons en conséquence trop petits pour le siècle, et cond
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erre, mais simplement une espèce de court-circuit
mondial
, brûlant tout, les deux pôles et l’entre-deux. Si le contraire de la
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pe, les autres dans le rapport des forces au plan
mondial
. Mais il y a plus. Si la détente se manifeste en réalités, et non pas
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suel d’émissions de radio traitant des événements
mondiaux
… L’URSS aurait à sa disposition le réseau de radiodiffusion occidenta
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r important dans la normalisation de la situation
mondiale
. J’étais parmi les députés et j’ai voté avec enthousiasme pour cette
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e série de traductions « Monuments de littérature
mondiale
» avait été si puissant qu’on l’imita même après la révolution, comme
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et vivront notre fédération. Il va de la réalité
mondiale
à celle de la commune et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de
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os pays dans un ensemble enfin viable à l’échelle
mondiale
(qui est celle du xxe siècle), ne cesseront de se heurter à l’obstac
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mbre 1956)ap Il y avait le prix Nobel, qui est
mondial
. Il y avait d’innombrables prix nationaux et locaux, plus ou moins sp
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able de « faire le poids » dans le jeu des forces
mondiales
. Chacun voit aujourd’hui qu’il nous faut faire l’Europe pour assurer
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es européennes : la Première et la Seconde Guerre
mondiale
, sont nées dans nos manuels d’histoire ? Car le nationalisme bellique
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res de 1914 et de 1939 ont mis fin à la puissance
mondiale
de l’Europe, qui dominait la planète depuis des siècles. Deux grands
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Résumé 1. Au lendemain de la Seconde Guerre
mondiale
, la Suisse est le seul pays intact au centre de l’Europe. Elle connaî
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opéens ont-ils été épargnés par la Seconde Guerre
mondiale
? 2. Quels dangers menacent notre prospérité ? 3. Quelles ont été les
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erres et un septième (diminuant) de la population
mondiale
. Si ce petit cap a dominé la Terre pendant des siècles, s’il en demeu
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trop grands à la fois, étant inefficaces au plan
mondial
et nuisibles au plan local, là où le jeune homme peut commencer d’agi
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ituer l’Europe et ses problèmes dans le grand jeu
mondial
des forces de l’époque, de manière à faire voir dans les faits la néc
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mais qu’elle se trouve dictée par la conjoncture
mondiale
et par toute l’évolution moderne avec une rigueur inflexible, sans qu
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es suivants : — Le renversement de la conjoncture
mondiale
. L’Europe reine du monde avant 1914, mais perdant cette royauté à la
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et sont régulièrement battus dans la compétition
mondiale
du xxe siècle, puisqu’elle a pour enjeu principal les esprits. Il en
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ller vite (si l’on tient compte de la conjoncture
mondiale
) et il faut réussir une Europe digne de ce nom (si l’on tient compte
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e, capable de mener une politique commune au plan
mondial
, pourrait seule négocier avec force et succès la solution des problèm
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politique. C’est dans cette perspective d’urgence
mondiale
que les fédéralistes ont maintenant le devoir de se placer. Alors leu
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antes pour maintenir l’Europe dans la compétition
mondiale
, que nous rencontrons la nécessité de formes d’enseignement nouvelles
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du panorama européen, situé dans une perspective
mondiale
. Comme Ortega, Diez del Corral aime à se référer aux philosophes et h
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cients de servir du même coup la cause de l’unité
mondiale
. Si réduits que soient encore nos moyens en proportion d’une telle mi
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l’ensemble ses meilleures chances de rayonnement
mondial
. Coordonner à l’intérieur, pour mieux représenter à l’extérieur. C
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politiques. Et l’avenir de l’économie, désormais
mondiale
, que l’Europe seule peut à la fois équilibrer et animer, en dépend de
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s notions générales (telles que l’interdépendance
mondiale
, la coopération pour la paix, la révolution scientifique, la poussée
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ne parle plus au nom de la Pologne, et l’opinion
mondiale
, depuis longtemps, a cessé de s’intéresser à une cause qui paraît san
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de l’Europe, en vue de l’établissement d’une paix
mondiale
. La pensée de Retinger sur ce sujet se précise au fur et à mesure de
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ment était venu de passer au stade de ce dialogue
mondial
, et d’en instituer les conditions pratiques. Il remercie la Fondation
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des cultures, et non pas d’un débat de politique
mondiale
. On me dira peut-être que les tensions les plus graves entre l’Europe
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)bs I. Nécessité du dialogue La diffusion
mondiale
des techniques occidentales de production, de transport et d’informat
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aque région culturelle à formuler, en perspective
mondiale
, non tant ses revendications que ses besoins, ses motifs propres de p
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ring houses », points d’appui pour l’organisation
mondiale
et pour l’animation du Dialogue des cultures Dès que de tels centr
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formeraient ainsi les points d’appui d’un réseau
mondial
d’échanges d’hommes, d’idées et d’informations. ⁂ La création de cent
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nion, uniformisation… Voilà le premier mouvement,
mondial
. Tout se rapproche, tout interfère, tout coopère ou tout se mêle, pou
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e cette culture qui fut l’agent de la convergence
mondiale
, un mouvement radicalement contraire de divergence. Ce mouvement de d
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lerinage aux sources vives de la nouvelle culture
mondiale
. Or, qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de langage commun, et que l
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dant ce temps, l’Europe avait perdu ses positions
mondiales
de puissance politique et militaire, mais sa culture faisait le tour
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tive de coopérer à l’établissement d’un équilibre
mondial
, et trouvent pour cela les moyens d’une aide conçue de telle manière
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aleurs européennes reconsidérées dans une optique
mondiale
, sont attribués une quinzaine de rapports. On peut les répartir en qu
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ir d’assistance technique, ont fourni la carrière
mondiale
que l’on sait. Un troisième groupe de rapports traite des liens entre
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nt de modes et d’œuvres du passé européen et même
mondial
. Ceci donc est typique de l’Europe : la présence et l’action simultan
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les styles étaient continentaux, et sont devenus
mondiaux
au xxe siècle : roman, gothique, classique, baroque, romantisme, réa
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porte de situer ce phénomène dans une perspective
mondiale
qui le ramène à ses justes proportions. a) Nos langues littéraires, e
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ls sont trop petits si on les regarde à l’échelle
mondiale
. Ils sont trop grands si l’on en juge par leur incapacité d’animer le
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fédéralistes, aux lendemains de la Seconde Guerre
mondiale
. Du moins, cette fédération de régions « immédiates à l’Europe » — co
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ssionnelles et culturelles tantôt locales, tantôt
mondiales
, domiciles multiples permettant de satisfaire alternativement les bes
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rticiper à des tâches plus vastes (continentales,
mondiales
). II apparaît ainsi que le fédéralisme politique — cas particulier d’
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eau municipal, régional, national, continental ou
mondial
) ; 3° à admettre une pluralité d’appartenances ou d’allégeances, conf
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ussi protestant, ce qui représente une allégeance
mondiale
(ce serait pareil si j’étais communiste, ou catholique, évidemment).
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de la commune à la fédération continentale, puis
mondiale
. L’État supérieur (fédération nationale ou continentale) doit garder
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ie, augmenter la productivité, animer le commerce
mondial
, très bien, c’était indispensable. L’URSS le faisait aussi, les USA s
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s d’inquiétude sourde dans les masses, d’angoisse
mondiale
dans les élites techniciennes, et c’est peu dire, car il s’agit en vé
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re ces décisions et les imposer ? Un gouvernement
mondial
? Il n’existe pas et n’existera pas en temps utile. Mais observons qu
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à une prise de conscience européenne et d’horizon
mondial
. La conscience de la nécessité de fédérer l’Europe, puis la reconnais
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e est une cité sans hinterland, qui est à la fois
mondiale
et coupée des campagnes voisines par une frontière nationale. Cela po
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n enseignement d’abord régional, puis européen et
mondial
. Toute l’histoire qu’on nous a enseignée est à refaire. Elle était fa
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i Georg Picht : Comme aucun des grands problèmes
mondiaux
ne peut être résolu dans un cadre national, la raison exige l’édifica
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es qui exigent la région ; — à partir de la crise
mondiale
qui exige la région. Ces deux types de réponses, partant du plus près
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se possible à la question : à partir des réalités
mondiales
, de la crise globale et des leçons qui en découlent à l’évidence. Je
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les étapes de raisonnement que voici : La crise
mondiale
— dont parlent tous les mass médias, depuis la crise du pétrole — rés
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a provoqué les deux guerres européennes, devenues
mondiales
. Ces guerres ont ruiné le prestige de l’Europe politique (d’où la déc
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est la cause efficiente et immédiate de la crise
mondiale
, et l’empêchement majeur à l’union de l’Europe — laquelle serait cepe
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ra l’élément décisif d’une résolution de la crise
mondiale
. Tout cela, me direz-vous, est bien schématique. J’en conviens, mais
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au-delà des réalités locales et derrière la crise
mondiale
il y a le danger, bien plus grave à mes yeux, de la dégradation des r
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e les cinq événements suivants : Première Guerre
mondiale
. Les USA deviennent la première puissance mondiale. Montée du communi
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ondiale. Les USA deviennent la première puissance
mondiale
. Montée du communisme et de l’URSS. Poussée des fascismes, établissem
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ogue de l’art nègre, dès avant la Première Guerre
mondiale
. Les Demoiselles d’Avignon de Picasso en témoignent à la manière d’un
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ermettront d’illustrer le principe de cette crise
mondiale
et l’impact sur le tiers-monde de « ce qui est venu de l’Europe ».