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é au nom de J.-P. Sartre après la Deuxième Guerre
mondiale
. « Écrivain engagé » a pris couramment le sens d’écrivain procommunis
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— qui est sans doute décisif pour définir le rôle
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d’une bonne Europe — André Reszler est peut-être trop bref, mais ses
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e, par quoi j’entends : au service de la vocation
mondiale
qu’elle s’est donnée dès la Renaissance. Le sort du monde et la propr
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tombé, probablement, dans un système totalitaire
mondial
. En préparant ce colloqueg, nous avons décidé de prendre au sérieux l
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Écologie » va reparaître après la Deuxième Guerre
mondiale
, signifiant alors bien des choses sympathiques, mais hétéroclites : à
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le phénomène, au lendemain de la Deuxième Guerre
mondiale
, a pris soudain des proportions à ce point alarmantes que les gouvern
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nation : il est à la fois trop petit (à l’échelle
mondiale
) et trop grand (à l’échelle des régions) pour jouer encore son rôle d
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organes des fédéralistes français, européens, ou
mondiaux
. Rien n’est moins à la mode que l’Europe, sinon son union fédérale, d
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unich et sur les prolégomènes à la Seconde Guerre
mondiale
: Il faut retenir l’attitude de l’opinion publique américaine, qui a
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ifiquement occidental, mais dont la prolifération
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combinée avec les armements nucléaires, biologiques et chimiques (gue
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op petits pour jouer un rôle effectif à l’échelle
mondiale
, — trop grands pour animer réellement leurs régions et pour résoudre
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aujourd’hui trop petits pour régler les affaires
mondiales
, et trop grands pour régler les affaires locales. » Dans ma Lettre o
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la fois trop petits si on les regarde à l’échelle
mondiale
, et trop grands si l’on en juge à leur incapacité d’animer leurs régi
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le de l’Europe au lendemain de la Deuxième Guerre
mondiale
: Le principe de structure de l’État romain présentait un caractère
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e de discuter. Et tout cela, dans une conjoncture
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qui, justement, semble opposer radicalement ces deux camps au point d