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s, et leurs adversaires de tout bord, et le foyer
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de leur marché comme de leur gloire. Cette aventure va-t-elle nous ap
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entendre effectivement, comment rêver une entente
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, comment penser la paix ? 2. Peu d’Américains « disent » vraiment c
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des Nations unies, par conséquent de la politique
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. Survenant peu de jours après, la démission de M. Torres Bodet, direc
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e l’Unesco, est gigantesque. Au regard des tâches
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que l’Unesco s’assigne, il est simplement ridicule ; pire encore si l
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régionaux (comme on dit à l’Unesco) et non point
mondiaux
. 2. Centralisé. La réalité de la culture ne se trouve ni dans l’indiv
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non point d’une organisation abstraite parce que
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, et condamnée par ses dimensions mêmes à la bureaucratie comme aux in
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s (septembre 1953)j Notre tâche est une action
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pour la liberté de la culture, c’est-à-dire : pour la liberté dont la
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comporter de conséquences politiques à l’échelle
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. Ainsi la Science, de plus en plus inquiète l’État, réagit sur le jeu
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tinentaux, des grands marchés, et de la stratégie
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. Nous nous sentons, en conséquence, trop petits pour le siècle, et co
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nos querelles internes que dans le jeu des forces
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qui nous pressent. Et certes, il faudra bien liquider nos querelles :
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cilié sans difficulté son loyalisme envers l’État
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romain et envers Arpino, Paul son loyalisme envers Rome et Tarse. Un
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aît simplement démente, si l’on a vu la situation
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— et si l’on n’est pas communiste. Seule une profonde révolte de l’Eu
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la dignité d’intentions particulières de l’Esprit
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, mais en même temps les voici privés, sous peine de « nullité politiq
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dienne du grand nombre jusqu’à la Première Guerre
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. Une proportion infime de nos populations eut l’occasion, durant ce l
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aire, chlorella, photosynthèse, plans à l’échelle
mondiale
. D’ici vingt ou trente ans, selon nos meilleurs experts, il suffira d
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ulture locaux se généralisent ; toute la peinture
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peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y méprendre
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eption « rationaliste » du monde. D’où son succès
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jusqu’à la dernière guerre. André Breton n’a pas cessé de chercher un
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il demeure impuni devant le tribunal de l’opinion
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— seul existant, hélas ! au-dessus des despotes — est de ceux qui dég
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cessairement nouvelle du communisme soviétique et
mondial
. Au total, je ne pense pas que le phénomène relève d’une dialectique
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vélées dans l’univers du communisme soviétique et
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par la Turbulence que l’on sait seront ici brièvement indiquées : ell
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» comme on dit. L’affaire Nasser est au contraire
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, elle compromet l’ensemble des rapports entre l’Occident et l’Asie, e
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qu’imagination du lointain. » En 1955, la presse
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annonça qu’un ingénieur américain croyait avoir trouvé le moyen de dé
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e. C’était pour se déclarer neutre entre un parti
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soutenu par un énorme État, et la poignée d’intellectuels indiens qui
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fin européenne (devenant à son tour moyen au plan
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) doit inspirer dès le début les structures et surtout les méthodes pr
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et les douars, et dans l’opinion vague qu’on dit
mondiale
. Voici le deuxième acte annoncé : c’est la France comme un tout qui v
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n d’un tribunal quelconque, fût-il de « l’opinion
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». Qui pourrait se charger d’élaborer cette politique de civilisation
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tre l’entropie : rôle européen de la France, rôle
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de l’Europe et rôle cosmique de l’homme. A. — Faut-il jouer la « Mars
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, menacée dans son ensemble et dans ses positions
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par l’expansion normale des grands empires, par l’hostilité latente d
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ème de l’Europe, posé par le grand jeu des forces
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et que nos divisions nous empêchent de résoudre ? 2° S’il y a problèm
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’Europe sont apparues, hors d’Europe, à l’échelle
mondiale
. Et trois tendances maîtresses se sont diversifiées au cours de ces d
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ble de nos créations) aura mieux enrichi le musée
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que le xviiie tant vanté. Perte de rayonnement ? C’est tout le contr
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rne. Et la proximité des principales institutions
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, qui effraie certains, me paraît au contraire des plus conformes au g
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etits États, d’ailleurs promis par la conjoncture
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au sous-développement et à la colonisation. Ambiguïté de l’intégra
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partie posthume, ne cessera de monter à l’horizon
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de la littérature européenne. Le comique dévastant, la lucidité calme
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nt fait du Docteur Jivago l’objet d’une polémique
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où l’URSS et l’Ouest s’affrontent une fois de plus, pour des raisons,
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couvrant d’insultes officielles. Dans le concert
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qui s’ensuit, hommages en Occident, outrages en URSS et lettres de co
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iétique, la tutelle américaine : tel est le cadre
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dans lequel les « Européens » ont la naïveté de situer leur continent
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’y ont accédé qu’à la faveur de la Seconde Guerre
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, c’est-à-dire en même temps que l’URSS. De la technique ? Mais c’est
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termes mêmes utilisés par le « chef du communisme
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» dans son fameux article de Foreign Affairs. Mais alors, comment exp
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s confrontant leurs points de vue, et à l’échelle
mondiale
. Le Congrès s’est donc adressé aux intellectuels du monde entier et i
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cident surtout. Mais désormais, c’est à l’échelle
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aussi que les diverses facultés de l’homme peuvent retrouver et rasse
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cident « pourri » déterminera le choix des masses
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. Qu’il prouve donc qu’il y croit, et laisse Berlin tranquille ! Ces d
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ue, condition d’une autonomie de l’Europe au plan
mondial
. L’autre voulait que le Marché commun, à mi-chemin de son évolution,
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munautés, elle seule pourra faire face aux tâches
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que la culture occidentale doit assumer. Encore faut-il que quelques-
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rve suisse Des lendemains de la Seconde Guerre
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jusqu’aux environs de 1960, il faut reconnaître que nos autorités et
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ement positive et tellement opportune à l’échelle
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? Pourquoi cette timidité ? L’histoire n’est pas faite par des gens q
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uerre qui subsistent ne sont plus nationaux, mais
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: rêver de s’y soustraire ne serait ni réaliste ni défendable moralem
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ans cesse confronté avec le devenir de l’économie
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». Avouons que depuis lors on n’a pas ajouté grand-chose à ce program
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tte union sera le premier pas vers une fédération
mondiale
. L’influence des idées fédéralistes est également sensible dans des e
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il est à la fois trop petit pour agir à l’échelle
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; trop grand pour permettre une participation civique réelle ; et san