1 ment suprême dans l’instauration d’une fédération mondiale ayant sa capitale en Suisse. Mais une fois le premier enthousiasme ca

2 e doit d’avoir été épargnée par la Seconde Guerre mondiale . De 1940 à 1944, la Suisse se vit plus isolée qu’elle ne l’avait jam

3 aines modifications de la situation européenne ou mondiale peuvent les transformer demain dans une mesure imprévisible. Nous nou

4 x Polytechnicum de Zurich, dont la réputation est mondiale , plonge ses racines dans un terroir de haute science, qui ne doit poi

5 ue l’on connaisse, et concurrencent sur le marché mondial les États-Unis eux-mêmes. Elles tiennent le second rang pour la fourn

6 sse dépend étroitement de l’équilibre européen et mondial . On imagine difficilement un pays pour lequel l’idée d’autarcie soit

7 eusement liée, nous l’avons dit, à la conjoncture mondiale . 21. Les indices que nous avons trouvés dans différentes statistiqu

8 œuvre comme la Croix-Rouge ou dans le rayonnement mondial de la pensée d’un Karl Barth qu’elle témoigne de sa véritable nature 

9 le siège de leur Office européen. L’Organisation mondiale de la santé, et l’Office international des réfugiés y ont été adjoint

10 Ligue plus vaste qui, loin d’adapter à l’échelle mondiale les principes formateurs de la Confédération, semble les renier ou le