1
ine. Il y a, tout d’abord, la perte de la royauté
mondiale
qu’exerçait l’Europe, sans conteste, sur la planète entière depuis la
2
e de tenir son rang ou de le regagner à l’échelle
mondiale
. Certains disent qu’il est trop tard ; que l’URSS et les USA, ces deu
3
d’équilibre, un facteur d’animation des échanges
mondiaux
, et, par là même, un facteur de paix. Cependant, au cours des discus
4
ux des optimistes qui voient surtout la diffusion
mondiale
de notre civilisation européenne et ses sensationnelles conquêtes tec
5
on qui mérite réellement le titre de civilisation
mondiale
. N’a-t-elle pas répandu sur la planète entière ses machines, ses form
6
’Europe, si elle reste divisée devant les menaces
mondiales
. Je ne puis donc conclure ces réflexions qu’en revenant à ma thèse de