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continuée4. Dans son rapport de 1970, le Conseil
mondial
de la population (Nations unies) envisageait une stabilisation de la
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s-développé suivant à grand retard, la population
mondiale
pourrait se stabiliser d’ici un siècle à 16 milliards environ, soit q
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is en posture d’accusé (avec 6 % de la population
mondiale
, les USA détiennent 40 % des ressources énergétiques), puis pour le t
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out pas le problème des villes, qui est désormais
mondial
, du fait de l’Occident. La progression des villes vers autre chose, q
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annonçaient, en 1969, la construction d’une ville
mondiale
— qu’ils nommaient Œcumenopolis — laquelle, vers la fin du prochain s
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lent pas à la forme et à la structure de la ville
mondiale
de l’avenir avant qu’elle n’ait pris l’intolérable aspect d’un immens
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le aspect d’un immense amas de taudis ». La ville
mondiale
ne pouvant être alimentée par les îlots de verdure subsistants, ce se
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politiques, les éléments préfabriqués d’une ville
mondiale
parfaitement uniformisée, garantie sans surprise dans la non-signifia
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roisième question à Toynbee, à savoir si la ville
mondiale
serait souhaitable, a trouvé sa réponse. Une société foncièrement
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e trouverons pas non plus de solutions à la crise
mondiale
qui sévit : car elle est née d’une mauvaise attitude de l’homme vis-à
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ù il est environ sept fois supérieur à la moyenne
mondiale
). Il ajoute que des « réacteurs rapides, utilisant les matières premi
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er à faire face à une diminution de la production
mondiale
du pétrole. Tel est l’avertissement lancé hier par M. H. R. Warman, d
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s atteintes les plus graves au cycle hydrologique
mondial
, tant par la pollution qu’ils tolèrent ou fomentent, que par toutes s
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’humanité future. Le mazout répandu sur « l’océan
mondial
» (comme disent les savants soviétiques, et ils ont raison, car il oc
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’armements, seuls comparables et valables au plan
mondial
, seuls indicateurs d’une croissance qui ne saurait sévir désormais, d
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Mass.) 1971, qui introduit les concepts de modèle
mondial
et de limites à la croissance. 35. La critique la plus profonde, et
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illiards de dollars par an, « soit 60 % du revenu
mondial
actuel… Il est hors de question de réunir de tels capitaux dans aucun
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’État-nation La clé La crise de l’Occident
mondial
a pour caractère spécifique de résulter non de l’échec mais de la réa
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effets combinés de l’industrie, de la population
mondiale
doublée et du surarmement délirant. Le gaspillage érigé en principe d
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ologiques ont une dimension continentale, et même
mondiale
dans bien des cas — qu’il s’agisse des fleuves ou des océans, de l’in
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RB régional, un PEB européen et finalement un PMB
mondial
, qui colleraient mieux aux réalités naissantes de cette fin du xxe s
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uté donnée. Ces bilans régionaux et continentaux,
mondiaux
, prendraient en compte par exemple : — côté gains : le nombre et la
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la fois trop petits si on les regarde à l’échelle
mondiale
, et trop grands si l’on en juge à leur incapacité d’animer leurs régi
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r « examiner les graves problèmes de la politique
mondiale
», comme le dira le communiqué, on pourrait croire qu’ils vont cherch
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orme, car il n’est pas de « problème de politique
mondiale
», si « préoccupant » soit-il, qui n’ait été fabriqué par ces hommes
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s sont en mesure de résoudre les graves problèmes
mondiaux
, fomentés par eux-mêmes, et de guérir les maladies — qu’ils entretien
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nir » en 1948 Au lendemain de la Seconde Guerre
mondiale
et de la bombe d’Hiroshima, je publiais un texte bref, qui me paraît,
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nationalistes et politiques par une organisation
mondiale
contrôlant effectivement les armes atomiques. La guerre devient impos
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orieusement par l’établissement d’un gouvernement
mondial
, libérant l’effort scientifique. (Je note ce sentiment, incapable de
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enir la matrice d’une civilisation spirituelle et
mondiale
. 2. Si l’Humanité choisit au contraire l’aventure spirituelle, celle
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Cela commence à la veille de la Première Guerre
mondiale
, celle qui entraînera la décadence de l’Europe ; et deux courants se
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ue sur la vie et la pensée. Il annonce qu’un État
mondial
régnera aux approches de l’an 2000, gouverné par « des hommes compéte
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les cinq événements suivants : — Première Guerre
mondiale
. — Les USA deviennent la première puissance mondiale. — Montée du com
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diale. — Les USA deviennent la première puissance
mondiale
. — Montée du communisme et de l’URSS. — Poussée des fascismes, établi
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to domine la conjoncture et détermine l’évolution
mondiale
de toutes les autres industries. Elle est née du fantasme d’un préado
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e pétrodollars qu’ils peuvent jeter sur le marché
mondial
évoque l’image d’une très grosse boule de pierre libérée en pleine te
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be, détenteur d’un produit valorisé par le succès
mondial
de l’auto, et l’État d’Israël, créé en Palestine à la suite des forfa
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r mieux dire, une organisation générale de la vie
mondiale
. Toutes les forces du temps y concourent obscurément ; et, pour peu q
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conque et quasi nul en soi, phénomène d’envergure
mondiale
, tel fut l’homme, tel demeure son mystère. Les effets fracassants déc
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qu’Hitler était le nom d’un désastre imminent et
mondial
. Pourtant, on ne l’a pas arrêté. Voilà le point qu’il faut élucider.
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onales, qui appelleront à leur tour une dictature
mondiale
comme seul barrage possible à la guerre ABC. L’alternative est là : r
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graves, des inégalités insupportables à l’échelle
mondiale
, etc. » Mais c’est bien vous qui désirez ce que des industriels n’ont
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des armées à l’éventualité d’une Troisième Guerre
mondiale
, dût en souffrir la théorie classique du pouvoir. Le budget de l’État
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ps, la continentale à coup sûr pour demain, et la
mondiale
dès aujourd’hui pour la sauvegarde des océans et la distribution des
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ducateurs ou méditants, fédéralistes européens ou
mondiaux
… Cet immense potentiel d’activités ne trouve pas à se réaliser au niv
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uvre de plus en plus mal adaptée à la conjoncture
mondiale
. De même, l’État-nation tout uniformisant dans ses frontières et touj
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e siècle — trop petit pour jouer un rôle au plan
mondial
, trop grand pour animer chacune de ses régions. Désormais, le voilà c
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par alternance depuis la fin de la Seconde Guerre
mondiale
. Qu’il suffise de rappeler les « nationalisations » d’industries clés
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t pour une nouvelle société, condition de la paix
mondiale
? Commencer l’action en faveur d’un civisme européen par l’école, et
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e, et par là même, forfaire à nos responsabilités
mondiales
. La crise actuelle dans les relations entre l’Europe et le tiers-mond
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fédération du continent, première base d’un ordre
mondial
. Déjà, lors d’élections locales ou nationales, les candidats bénéfici
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elais par satellites permettent une communication
mondiale
: dans les deux cas on échappe aux contrôles de l’État-nation, dont l