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es, les animaux ou le surnaturel. Mais un confort
moral
et un luxe matériel largement partagé par toutes les classes. L’Occid
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ense de la personne, du destin, ce qu’il proclame
moral
ou immoral, son attitude en face de la mort — tout cela dépend du ran
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airement les qualités humaines et propose un sens
moral
au lecteur ». C’est donc sa récente Aventure de l’homme occidental (A
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e système très complexe des valeurs spirituelles,
morales
et intellectuelles qui explique seul la genèse de ces « produits », q
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ndis que le physicien rêve d’une autorité d’ordre
moral
, le psychologue paraît attendre davantage de la terreur qu’inspirent
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ne aujourd’hui contre elle les armes physiques et
morales
que son génie seul a créées pour le meilleur et pour le pire ; et que
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: Nous ne sommes pas libres, si un seul obstacle
moral
arrête notre marche physique sur un seul point du globe. Les droits d
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rences — régionales et nationales, religieuses et
morales
, philosophiques et sociales — et leur coexistence dans l’espace et le
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des civilisations, des religions et des arts, des
morales
et des gouvernements ; et cette sociologie totale, ou planétaire, pré
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ité. À ceux qui demandent d’abord des apaisements
moraux
, des certitudes bien calculées avant de partir, et une réponse à leur
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rences — régionales et nationales, religieuses et
morales
, philosophiques et sociales — et leur coexistence dans l’espace et le
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des civilisations, des religions et des arts, des
morales
et des gouvernements, et cette sociologie totale ou planétaire, prépa
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ion. À ceux qui demandent d’abord des apaisements
moraux
, des certitudes bien calculées avant de partir, et une réponse à leur
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es, elle l’a dû à sa faculté de créer des valeurs
morales
, des structures de la société, et des techniques, que tous les autres
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r contre nous nos propres armes, tant sociales et
morales
que matérielles… N’est-ce pas assez pour justifier les prophètes du d
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des civilisations, des religions et des arts, des
morales
et des gouvernements et cette sociologie totale, ou planétaire, prépa
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saurait imaginer complexe de forces spirituelles,
morales
et matérielles plus typiquement et plus incomparablement européen. Qu
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chnique tourne en routine, et toutes nos libertés
morales
et civiques s’enlisent dans l’euphorie d’un confort insipide, non plu
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besoins d’un tout autre ordre, psychologiques et
moraux
, qui ont guidé l’intuition des inventeurs. L’explication de la techni
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evoir cet équilibre, d’en formuler les conditions
morales
; à la technique de le servir, d’en fournir les moyens matériels. L’a
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s de ceux qui assumeront à la fois les conditions
morales
et matérielles d’un équilibre humain assez riche et assez souple pour
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mplicité première, jusqu’au niveau des confusions
morales
les plus banales et complaisantes. Ce serait aller de l’apparition d’
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je dis à Spoerri : « Si la France est battue, le
moral
de la Suisse va flancher. Beaucoup seront tentés de céder à diverses
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rêts (“Qui ne sait se taire nuit à son pays”). Le
moral
des Suisses va-t-il flancher devant le raz de marée nazi ? Le Gothard
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resté, eût certainement passé à la pratique si le
moral
du pays ne s’était pas ressaisi. Le seul fait qu’à ce redressement la
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contraint autant que l’évolution des idées et des
morales
. L’Europe, initiatrice et première bénéficiaire ou victime de la civi