1
e peut être défendue, et ne le sera pas avec le «
moral
» nécessaire. En revanche, vouloir l’Europe vraiment unie et forte, c
3
re adopter par les États, en a retenu le bénéfice
moral
, et l’on verra tout à l’heure que la moitié seulement de notre progra
4
in de mai 1951. 3. Auguste Detœuf. g. « Rapport
moral
présenté par M. Denis de Rougemont, directeur du CEC », Bulletin du C
5
(Toynbee), c’est-à- dire de regagner en prestige
moral
ce que nous perdons en apports extérieurs. La table ronde n’a pas dre
6
délai optimum. Pourquoi ? À cause des résistances
morales
nées du nationalisme, et de vieilles craintes ou rancunes entretenues
7
est l’aboutissement d’une série d’actions d’abord
morales
, intellectuelles et spirituelles, puis économiques et sociales, qui p
8
cesse croissant, dans un maquis de contradictions
morales
, intellectuelles et pratiques. D’où vient cette inquiétude fondamenta
9
es à l’union européenne sont actuellement d’ordre
moral
, bien plus que matériel. Voici les principaux : — manque de confiance
10
par sa seule existence, le climat intellectuel et
moral
de l’Europe, en restaurant le sens de notre indépendance et de notre
11
ndre vers la première enfance (dressage social et
moral
) et vers l’âge mûr (spécialisation toujours plus poussée). L’instruct
12
es de succès dans l’ordre intellectuel, social et
moral
. Et qui se préoccupe d’informer les Européens sur les problèmes vitau
13
: un ensemble complexe mais cohérent de conduites
morales
et sociales, d’institutions politiques, de traditions et de créations
14
incluse) que pour les idées politiques, sociales,
morales
et philosophiques. Elle le doit pour le reste du Monde comme pour ell
15
les perspectives de développement intellectuel ou
moral
rejoignent tout naturellement l’impératif européen. Encore faudra-t-i
16
ème des résultats sociaux, à la fois matériels et
moraux
, produits par cette activité. Quoi qu’on en pense, un fait demeure in
17
qu’en vertu du complexe philosophique, éducatif,
moral
et spirituel qui demeure l’origine permanente de ce que nous appelons
18
incluse) que pour les idées politiques, sociales,
morales
et philosophiques. Elle le doit pour le reste du Monde comme pour ell
19
phique, les conflits de valeurs et de conceptions
morales
, etc.). Ces critiques nous paraissent valables pour tout l’Occident.
20
fense nationale bien comprise (comprenant donc le
moral
d’un pays, son tonus civique), mais il est clair qu’on ne pouvait s’a
21
ont apporté à la Campagne leur appui matériel et
moral
. Le rôle de chaque stage est : 1° de discuter le problème de l’enseig
22
lture étant un ensemble ultracomplexe de réflexes
moraux
, mentaux et affectifs, et de systèmes de valeurs, donc de références
23
s à l’intérieur des États-nations, et du prestige
moral
et militaire que les États-nations tentent d’imposer à l’extérieur. I
24
i mais sur soi-même ? En termes philosophiques et
moraux
, cela signifie : voulons-nous à tout prix un certain niveau de vie, a
25
ogique, ni énergétique, ni éducatif, mais social,
moral
et en dernière analyse, spirituel. Les régions sont la dernière chan
26
urs à la « nécessité » contre la liberté du choix
moral
et de la décision politique. Car quelles que soient ses intentions co
27
ent industriel non équilibré par un développement
moral
, technologie « sauvage », sans vues prospectives, pharmacopée localem