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’une anarchie dont les causes semblent avant tout
morales
. Les tendances encore un peu vagues d’un groupe tel que Philosophies
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la plus brûlante les richesses intellectuelles et
morales
du grand vaudois. Vraiment, tout ce qui semble viable et humain dans
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nt chrétienne — un mysticisme de cadre solidement
moral
, c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière — me paraît infiniment plus
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ait accorder trop d’importance à leurs tentatives
morales
, si singulières soient-elles — dont le grand public reste le témoin s
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s, le pire et le meilleur, toutes les vieilleries
morales
et immorales, tous les paradoxes, le chaos, etc. — Certes, aucune épo
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émonstrations par l’absurde de quelques problèmes
moraux
et littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse. (« Nous
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s. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de conte
moral
, avec ses personnages un peu conventionnels et l’invraisemblance asse
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oin d’évasion qui est la condition de son progrès
moral
. C’est ainsi qu’il consent, non sans une imperceptible satisfaction,
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M. Marcel de ce qu’elle « mène loin… dans l’ordre
moral
». Et quand cela serait ! dirons-nous, — avec le Benda qui ne trahit