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rien mérité, sinon la colère de Dieu. En face de
morales
de plus en plus débilitantes, asservies à la classe, à la race, et à
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donnait en paix à ses déterminations physiques et
morales
. Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait ad
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ure, puisse s’y « fier » et se passer de recettes
morales
inventées par les anciens juifs, Kant, Joseph Prudhomme ou le pasteur
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; l’objet pur opprime, le sujet pur s’évade ; les
morales
échouent, l’immoralisme n’est qu’une morale de plus ; l’athéisme cons
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La personne est aussi, par conséquent, l’individu
moral
, l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’es
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grande correspondance existe entre tous les êtres
moraux
et physiques. Il n’y a personne, je le pense, qui, laissant errer ses
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de se présenter à la table sainte dans un état «
moral
» insuffisant ; mais sait-il bien que seul l’aveu de sa totale insuff