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suite de méditations sur le thème du tout-ou-rien
moral
qui caractérise Kierkegaard. L’on y trouvera moins de paradoxe et plu
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e romanesque. Un Kierkegaard critique ses mesures
morales
, en donne la référence : ce Dieu terrible. Et sa vertu est choix. L’a
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es marxistes nous accusent de mêler des notions «
morales
» — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiqu
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orgueil ni modestie, ni aucune espèce de valeurs
morales
, de même que la digestion, si vous voulez. L’idée même de s’en vanter
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Kierkegaard pour une espèce d’esthète du paradoxe
moral
, pour un immoraliste avant la lettre nietzschéenne. Admettons que la
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iment que d’autres facteurs prédominent, facteurs
moraux
et psychiques. » C’est donc devant sa destinée, et non pas devant Blü
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e état des pertes matérielles subies. Le bénéfice
moral
, incalculable, fut perdu. 7. Conclusion. — La voie était dès lors ouv
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s’en prendre à Dieu et à son Fils. Déjà « le Dieu
moral
est réfuté ». Que va dire l’Autre ? C’est, dans la vie du Don Juan de
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ien pour échapper aux trompeuses stylisations des
morales
et jugements tout faits n’est plus seulement émouvant : il revêt la v
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saint Paul ; mais, préalablement à tout jugement
moral
, il s’agit de la reconnaissance d’une bipolarité, d’une tension perma
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es : sociales, économiques et politiques, ou même
morales
. D’une part (en tant que religions), elles expriment ces réalités, el