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défauts techniques sont compensés par un avantage
moral
considérable : un nombre croissant de citoyens qualifiés participe à
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x de l’Amérique : l’absence d’antagonismes réels,
moraux
et idéologiques, entre patrons et employés. Chacun sait que les grève
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er des cités idéales, conformes à leurs doctrines
morales
et politiques. D’où le caractère social très accentué que prit, dès l
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ristianisme américain. Tout acte civique, social,
moral
, jugé conforme au bien du plus grand nombre et aux coutumes reconnues
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xualité. Tandis qu’en Amérique nous trouvons deux
morales
également admises, semble-t-il, l’une faite de vices et de vertus, co
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’éducation puritaine au foyer. Mais les standards
moraux
créés par les Pionniers leur sont transmis sous la forme atténuée de
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ricain, me semble-t-il, n’est pas vicieux. Il est
moral
ou sans morale, mais bien rarement immoraliste. Ce qu’il ignore, c’es
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e ceux qui veulent y rester, elle exige des gages
moraux
, financiers, idéologiques, et physiologiques. Trouvez donc deux Améri
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nt à se faire excuser par quelque autre vertu.
Moral
ou immoral. — Bien entendu, c’est des relations des sexes que je veux
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e coutume.) Je crois qu’à cet égard les jugements
moraux
de l’Américain sont exactement inverses des nôtres. Le sauteur est bi