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es, les animaux ou le surnaturel. Mais un confort
moral
et un luxe matériel largement partagé par toutes les classes. L’Occid
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ense de la personne, du destin, ce qu’il proclame
moral
ou immoral, son attitude en face de la mort — tout cela dépend du ran
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privés ou religieux — cette dissolution des liens
moraux
et ce mépris des limites comme des fidélités, vont laisser l’homme dé
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ogrès, et d’une fin de nos conflits politiques et
moraux
. Faut-il penser que le communisme figure « historiquement » la nouvel
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Tristan pris de passion viole tous les interdits
moraux
, sociaux et religieux ; Iseut trahit tous ses serments sacrés, et dan
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’est que les mobiles spirituels et les impulsions
morales
nécessaires leur ont manqué. Au contraire, le chrétien a été capable
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ente me paraît donc bien moins de mettre un frein
moral
au cours de la technique, que de l’accélérer puissamment, jusqu’au po
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’autres, un peu plus tard, aux civilisations, aux
morales
, aux concepts, à l’histoire, à toutes les disciplines de la culture.
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cesse croissant, dans un maquis de contradictions
morales
, intellectuelles et pratiques. D’où viennent cette inquiétude fondame
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oyaient plus conservaient cependant les exigences
morales
du Décalogue et de l’Évangile : un Proudhon puis un Marx le démontren
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le, de technique à l’occidentale, et de principes
moraux
allégués (tels que justice, civisme, puritanisme, progressisme, etc.)
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étriment de la paix des Asiatiques et du prestige
moral
de l’Occident. Ainsi, durant des millénaires d’échanges commerciaux e