1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1  : « La réfutation de Dieu : ce n’est que le Dieu moral qui est réfuté. » (Œuvres posthumes.) Tout autre est le cas de l’aute
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
2 leurs fidèles sont pratiquement des clubs de gens moraux plutôt que des assemblées de pécheurs qui attendent dans l’adoration
3 t encore se faire accepter pour d’autres raisons, morales , politiques, ou même religieuses, au sens naturel de ce terme, au sen
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
4 e ou de classe, ou les matérialismes biologiques, moraux ou bourgeois). De même l’individualisme est une déviation morbide du
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
5 s vivons par exemple dans une grande confusion de morales contradictoires, car le fait est que dans une même journée il nous ar
6 archie moderne du vocabulaire, donc des jugements moraux et politiques, ils ont opposé des réglementations schématiques et gro
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
7 t, les problèmes qu’elles envisagent, les valeurs morales qu’elles tiennent pour allant de soi, tout est devenu trop différent,
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
8 mortelle, parce que tous les obstacles sociaux et moraux ont perdu leur solidité et finissent toujours par être vaincus ou tou
9 ugement, par des styles renouvelant les attitudes morales actuelles quant à ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. L’app
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
10 cesse croissant, dans un maquis de contradictions morales , intellectuelles et pratiques. D’où vient cette inquiétude fondamenta
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
11 morale chrétienne et naturelle. Or le réformisme moral n’a jamais pu influencer le cours des événements. L’histoire est fait
12 tat totalitaire et les droits de l’homme. Conflit moral entre le collectivisme oppressif et l’individualisme anarchisant. Con
13 atiquement la guerre et la révolution. Du conflit moral résultent la tyrannie et l’anarchie. Du conflit idéologique et religi
14 écessaires unissant cet arrière-plan aux réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action constructive sans idéol
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
15 n de ce siècle, les grands problèmes matériels et moraux , individuels et collectifs, qui ont tourmenté l’humanité depuis des m
16 Or cette science, cette technique, et les valeurs morales , sociales, économiques et politiques qui en furent le contexte sécula
17 ui lie ces produits à nos valeurs, religieuses et morales à l’origine, les peuples récemment promus à une indépendance de type