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être un moment héroïque de notre lutte contre la
mort
. Imposer l’ordre et la mesure humaine à l’anarchie des forces naturel
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de plus en plus gouvernés nécessairement par les
morts
. » Tout cela résume les effets nécessaires de deux séries de phénomèn
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germe dans ces formules de Comte et de Hegel. Les
morts
gouvernent les vivants : c’est le déterminisme historique. Organiser
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inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la
mort
des amitiés. Plus angoissante encore, elle règne innommée et panique
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stiques et des dictateurs. Les lieux communs sont
morts
et embaumés : déjà, on leur fait des musées. Ou pire : ils n’ont jama
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doit se confondre avec ces intérêts sous peine de
mort
. La Diesseitigkeit de la philosophie hitlérienne a été fort bien expr
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viduelle : on ne peut pas ressusciter des mesures
mortes
. Je dis qu’elle sera personnelle, qu’elle sera la mesure de l’homme e
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douceur de vivre, mais qui sera la honte de notre
mort
si nous n’y portons des mains fortes. Il est temps de proclamer vaine
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’expression même de Marx. « Marx, révolutionnaire
mort
jeune », a-t-on écrit avec une précision que la publication des écrit
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’elle prend son gîte à l’abri des atteintes de la
mort
, mais aussi de la vie. Le système politique qui se réclame encore de
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ne ce que Dieu voudra ! J’aurai du moins gagné ma
mort
. J’aurai vécu. Le sort du monde n’est pas dans les fatalités. Il est
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hacun de nous la lutte ouverte de la vie et de la
mort
; tous ceux qui refusent l’instant, la tâche minime et réelle, au nom
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inexorable de la masse — cette immense peur de la
mort
—, le régime que dès maintenant la volonté blessée des hommes francs,
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à où l’on touche les vraies bornes de l’homme, la
mort
, la destruction, l’angoisse et l’isolement ; là où la Parole prend un
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t attirer l’attention sur le rapport de vie ou de
mort
qui unit l’homme, être pensant, à son langage. Le mot, corps d’une id
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on, le point éblouissant de la métamorphose où la
mort
et vie se confondent dans une nouveauté absolue. L’imagination du lan
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e, leur pensée, leur action, leur lutte contre la
mort
et l’anarchie. Les Juifs ont eu la Loi et la prophétie ; les Grecs, l
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qui pourrait signifier aussi bien la condamner à
mort
et l’extirper de son être, fût-ce pour l’introduire dans l’Histoire.
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ix. Combien d’étreintes, de blessures, combien de
morts
, de retours et de morts encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s
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de blessures, combien de morts, de retours et de
morts
encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s’abandonne, comme on oub
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instant il se dresse contre les mécanismes de la
mort
; un instant il recrée, dans la vision de l’homme, la forme de son co
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ne faisons en réalité que nous approcher de cette
mort
. Et voici le dernier paradoxe : c’est cet instant où nous touchons la
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paradoxe : c’est cet instant où nous touchons la
mort
qui recrée notre vie temporelle. Tout aussitôt, nous replongeons dans
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lement unifié dans le non, — la pleine stature de
mort
. Le Christ fait cet acte, en mourant sur la croix. Mais Christ est Di