1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
1 de son auto qu’on roule, que doit-on faire de son moteur  ? » Mais nous ne partons pas pour plaisanter avec les bons esprits. Q
2 esprit qu’on dit pur, et l’acte qui l’atteste. Le moteur ni les roues ne sont faits pour eux-mêmes : ils n’ont de raison d’êtr
2 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
3 s’agit de rejoindre et d’accomplir. Voilà le vrai moteur de la pensée. Pour l’homme créateur, vraiment humain, et que j’appell
4 r la constatation de l’état présent, n’est pas un moteur suffisant, ou plutôt ne devient un moteur suffisant que si la vision
5 pas un moteur suffisant, ou plutôt ne devient un moteur suffisant que si la vision d’une fin nouvelle vient l’orienter et lui