1
ation, comme on sait, résulte de l’action de deux
motifs
apparemment contradictoires : la peur et l’attrait combinés. Il est c
2
r que l’invasion du stalinisme russe. On sait les
motifs
invoqués : richesse des USA, conformisme souriant mais implacable, ma
3
fs, et très souvent ne leur doit rien.) Quant aux
motifs
d’attrait, ce sont parfois les mêmes, plus chez beaucoup l’idée que l
4
y remédier. Mais d’une manière plus générale, les
motifs
des échecs encourus jusqu’ici ou de notre défaut de rayonnement se ra
5
ociées. Vous pourrez en juger tout à l’heure. Les
motifs
de ces succès sont simples et j’en dirai trois : le CEC travaille dir
6
actuel du Centre en tenant compte d’une part des
motifs
d’échecs et de succès que je viens d’indiquer, c’est-à-dire de nos ré
7
et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)i
Motifs
et objectifs L’un des faits les plus frappants de la vie musicale
8
, si ce n’est pour des raisons de prestige ou des
motifs
extra-musicaux. La situation de la critique musicale d’après-guerre e
9
n et de collaboration. Tels sont entre autres les
motifs
qui ont amené le Centre européen de la culture à élaborer le projet d
10
té tenu par le Kremlin, et qu’il ne soit l’un des
motifs
majeurs de l’actuelle offensive de paix. Ce que l’on peut observer c’
11
s hésiter à souligner des évidences. Les vrais
motifs
de notre union n’ont pas changé Étant admis que la reprise des nég
12
données de notre destin historique, demeurent les
motifs
impérieux de notre union fédérative. Les sourires du Kremlin sont peu
13
es ministres des Six, en proclamant hautement les
motifs
et les buts d’une union fédérale de l’Europe, en acceptant le Projet
14
notre union qui se détend ? Redisons donc que les
motifs
profonds d’unir l’Europe ne dépendent pas de la menace soviétique. Il
15
et de la technique du xxe siècle. Ces impérieux
motifs
d’union ne dépendent ni de la menace russe, ni d’une pression américa
16
emiers de notre force. L’Occident n’a donc pas de
motif
de redouter quoi que ce soit d’un libre échange conforme à l’essence
17
e nous perdre en hypothèses invérifiables sur les
motifs
tactiques ou stratégiques des Russes, saisissons l’occasion d’appliqu
18
par deux mots : optimisme et responsabilité. Les
motifs
d’optimisme sont nombreux et solides, nous en avons administré les pr
19
de sa carrière. Il est intéressant de relever les
motifs
qu’il donne lui-même de son échec, car il ne les oubliera pas et pren
20
vèlent qu’il a vraiment aimé ce peuple, et qu’aux
motifs
fortuits et théoriques de son activité là-bas est venu s’ajouter, au
21
uer avec l’extérieur pendant une semaine, et sans
motif
allégué, ce qui est contraire à la loi. De Saint-Louis, on le transfè
22
n (par les soins du CEC) donnant une synthèse des
motifs
du dialogue et de ses méthodes. Et nous voudrions 2° que ce colloque
23
jour de ce matin. Premier point : Quels sont les
motifs
généraux du dialogue, résultant de la situation actuelle dans le mond
24
ler d’urgence le dialogue. Bien entendu, d’autres
motifs
peuvent et devront être énumérés et définis. Il se peut aussi que cer
25
urrons aborder le deuxième point : Quels sont les
motifs
spécifiques du dialogue, pour chaque région ? Ceci nous demandera sa
26
ange. Il est clair que les deux premiers points —
motifs
généraux et motifs régionaux — sont étroitement connexes. Cependant,
27
que les deux premiers points — motifs généraux et
motifs
régionaux — sont étroitement connexes. Cependant, je vous propose d’e
28
ent, pour plus de clarté. Commençons donc par les
motifs
généraux du dialogue, quitte à les préciser, à les illustrer ensuite
29
e à les préciser, à les illustrer ensuite par des
motifs
plus précis et régionaux. [Suivent les interventions des participan
30
isation croissante de la civilisation. II. Les
motifs
du dialogue et ses difficultés spécifiques, pour chaque culture La
31
xiste pour chacune de nos cultures, mais certains
motifs
varient de l’une à l’autre. Je prendrai ici, à titre d’exemple, les b
32
des autres régions culturelles expose ses propres
motifs
de dialoguer, et ses propres difficultés. Les difficultés ont des cha
33
s degrés variables) pour chaque région. Quant aux
motifs
, ils sont sans doute très différents. La culture de l’Inde, par exemp
34
non tant ses revendications que ses besoins, ses
motifs
propres de poursuivre le dialogue, les bénéfices qu’elle en attend, e
35
, il aboutit souvent à des naissances réelles. Le
motif
de notre Campagne d’éducation civique européenne, c’est la nécessité
36
t le monde [Introduction] (février 1965)ca Les
motifs
d’union de l’Europe ont beaucoup évolué depuis 1945. Dès cette année-
37
est-à-dire de nos guerres civiles européennes. Le
motif
dominant de l’union était alors de rendre impossible une nouvelle gue
38
aller plus loin sur le plan politique, un nouveau
motif
d’union passa au premier rang : rétablir la prospérité économique du
39
ulture seule expliquait. Alors parut un troisième
motif
d’union : représenter l’Europe comme un ensemble dans la rencontre de
40
veut marquer la prise de conscience de ce nouveau
motif
, le motif planétaire. L’idée maîtresse qui l’inspire est la suivante
41
er la prise de conscience de ce nouveau motif, le
motif
planétaire. L’idée maîtresse qui l’inspire est la suivante : — il fau
42
la prise de conscience du phénomène région et des
motifs
de son apparition en ce moment précis de notre histoire et de l’évolu
43
ation » de la France et de l’Italie.)95 Certains
motifs
psychologiques s’ajoutent d’ailleurs au refus instinctif du saut qual
44
qu’il suffise d’évoquer la sécurité suisse et ses
motifs
. Mais le fédéralisme va plus loin, et conçoit d’autres types et modèl
45
inguistique, elle devrait s’amputer, pour le même
motif
, de près de la moitié de ses territoires actuels. Quant à la langue a
46
des régions (printemps 1974)ck Évolution des
motifs
d’union Il y a peut-être encore en Laponie, sur les bords de la Ta
47
e leur prise de conscience par les Européens, les
motifs
principaux qui nous ont amenés à l’idée d’union de l’Europe, et qui n
48
d, dans les dix à quinze ans qui viennent. 1er
motif
. — En 1946, tout le monde voyait très bien qu’il fallait faire l’Euro
49
t pas : il était négatif, en quelque sorte. 2e
motif
. — Il fallait faire l’Europe dans les années 1950 pour relever ses ru
50
pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980. 3e
motif
. — Mais à peine mis en place les instruments capables de résoudre vir
51
tique d’ensemble. Et voilà bien, n’est-ce pas, un
motif
formidable, écrasant même, d’unir enfin en une puissante fédération l
52
à une, parfaitement impuissantes au total. 4e
motif
. — Mais il y a plus. Il y a quelque chose qui est peut-être plus effr
53
bouge : pourquoi ? Mais s’il en est ainsi des
motifs
de l’union, s’ils sont aussi nombreux, aussi peu contestés, aussi écr
54
part, depuis plusieurs années, d’une analyse des
motifs
extrêmement divers en apparence, qui ont amené la plupart des pays eu
55
s européens à poser le problème régional. Que ces
motifs
soient de nature ethnique ou économique, linguistique ou géographique
56
as spéciaux », on voit se dégager deux classes de
motifs
principaux, les ethniques et les économiques — d’ailleurs en interact
57
conomiques — d’ailleurs en interaction fréquente.
Motifs
ethniques d’abord. Il y a les problèmes linguistiques du Sud-Tyrol et
58
médiat à l’Europe fédérée dès qu’elle sera faite.
Motifs
économiques ensuite. Les plans d’aménagement du territoire qui se don
59
tends les centrales nucléaires. Cette analyse des
motifs
et des fins n’est faite aujourd’hui par personne. On se borne à prote