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aix, liberté, prospérité, tels ont été les grands
motifs
de toutes les confédérations qui ont vu le jour au cours des siècles,
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s chère du monde, est aussi la moins motivée. Les
motifs
que l’on a allégués en public sont puérils : le président Kennedy ava
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voulait dire : nous serons les premiers. C’est un
motif
puéril, je le répète, une gaminerie. Il y a d’autres motivations, tou
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sur ce plan — et finalement, en dernier lieu, un
motif
de connaissance pure, scientifique. Tout cela ramène toujours au même
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, scientifique. Tout cela ramène toujours au même
motif
: être les premiers. Et alors, on peut se dire ceci : on aurait pu av
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peut se dire ceci : on aurait pu avoir les mêmes
motifs
— puérils — et les appliquer à un autre but, dont l’utilité eût été p
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sens inverse. Qui faut-il croire ? Les véritables
motifs
, on ne les saura que beaucoup plus tard, et ce ne seront pas les « bo
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r une dernière croisade pour délivrer Jérusalem —
motif
mystique. Il ne pensait pas du tout découvrir l’Amérique. Il voulait