1
« Mouvement », « La
morte
ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)a Mouvement Ô ciel c’e
2
e ne plus dire un mot de ne plus rien. La
morte
ou la nue Quand tes yeux se confondent et que tes bras autour d
3
au tourment bien-aimé… a. « Mouvement », « La
morte
ou la nue », « Ainsi », Le Journal des poètes, Bruxelles, n° 19, 16 a
4
ment cette « peau » du bourgeois pour laquelle il
mourrait
, dit-on, ne peut être qu’un symbole de son argent.) Mais ce que je sa
5
sa peau pour des intérêts. On ne se bat et on ne
meurt
que pour des « folies » qualifiées. Celle que l’Ordre nouveau propose
6
aard fait écho à ce cri de Thérèse d’Avila : « Je
meurs
de ne pas mourir. » Qu’un humanisme religieux, qui trop souvent expri
7
ce cri de Thérèse d’Avila : « Je meurs de ne pas
mourir
. » Qu’un humanisme religieux, qui trop souvent exprime la croyance co
8
ais ce poète, ce penseur, dont on peut dire qu’il
mourut
en martyr9 d’avoir défendu contre tous l’impossibilité humaine du tém
9
force intellectuelle et toute son œuvre… S’il ne
meurt
pas, dit-il, il devra poursuivre sa lutte religieuse, mais elle s’en
10
re pour ce qu’elle paraît. N’est-ce pas ainsi que
meurt
une illusion ? Or toutes ces choses et bien d’autres qu’on pourrait d
11
ce de l’éternel, répondent : celui qui voit Dieu,
meurt
. Car à la suprême vision correspond la suprême transformation. Reste
12
in j’avais le regard si perdu et la contenance si
morte
, que ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu ».28 D’autre