1 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
1 nd son sens et sa valeur que dans la mesure où il meurt et se perd dans le développement des forces et des formes qu’il conti
2 e la vie à la vie par la mort. Toutes les graines meurent , mais elles peuvent mourir de deux manières : les unes ne laissent qu
3 t. Toutes les graines meurent, mais elles peuvent mourir de deux manières : les unes ne laissent qu’à peine leur poids minime
4 utres donnent un nouvel arbre. Notre État fédéral mourra , certes, lui aussi, ainsi que meurent tous les États. Mais peut-être
5 État fédéral mourra, certes, lui aussi, ainsi que meurent tous les États. Mais peut-être ne mourra-t-il que dans sa réalisation
6 nsi que meurent tous les États. Mais peut-être ne mourra-t -il que dans sa réalisation à une échelle infiniment plus vaste ? Tell
2 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
7 e de l’Europe et de la culture. Elles naissent et meurent avec l’esprit fédéraliste, qui est le génie de l’union dans la divers
3 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
8 formes techniques et matérielles resteront lettre morte . Au premier rang figure une institution clé, le Centre européen de la
4 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
9 deux réalités : l’Europe, la culture, naissent et meurent du même mouvement. ⁂ Qu’en est-il donc de ce mouvement, au milieu de
5 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
10 ’Europe est née, elle a vécu d’antagonismes. Elle mourrait de leur suppression artificielle. Elle y perdrait le secret de sa cré