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es constructions de la politique resteront lettre
morte
, ou pire : s’édifieront sans tenir compte de ce qui fait la valeur de
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ompent avec lui, ses hebdomadaires périclitent ou
meurent
, son prestige s’évanouit avec la légende de son efficacité. Or ce ref
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ationale, insistant sur la majuscule. Byzance est
morte
en discutant le sexe des anges, sujet sublime, mais l’empereur combat
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n plus humiliante pour les Européens qui laissent
mourir
l’Europe en discutant le dosage d’un cabinet, d’un comité de liquidat
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es, ne fera jamais vivre l’Europe. Il sera lettre
morte
pour les Européens, tant que ceux-ci n’auront pas bien vu vers quel B
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nos pays sont trop petits pour le siècle, qu’ils
mourront
seuls ou revivront ensemble. 2. Il faut que l’Europe s’unisse pour sa
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, nous vivrons tous dans une même maison, ou nous
mourrons
tous dans les mêmes ruines. » Nature des obstacles à l’union Le
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fisants, viendront trop tard, ou resteront lettre
morte
. Si au contraire le sentiment de leur destin commun se réveille chez
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al des encyclopédistes.) Un an plus tard, le tsar
meurt
de la syphilis. C’est en pensant à lui (assassin de son fils comme Iv
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utres récoltent ! L’essentiel est que l’Europe ne
meurt
pas, c’est-à-dire qu’elle rayonne à nouveau, foyer de liberté et d’in
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adio libre à Budapest, une voix forte cria : Nous
mourons
pour l’Europe ! Aidez-nous ! Nous n’avions rien entre les mains. La c
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lui jalouse : on l’attaque, on la dit décadente,
morte
avec le colonialisme, condamnée sans recours, mais on l’imite partout
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finition unique et standard de l’Europe, celle-ci
mourrait
. L’idée de l’Europe sauve l’Europe… L’Europe sera ce que nous voudron
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le les meilleures institutions resteraient lettre
morte
. Seule, la troisième méthode se trouve correspondre aux possibilités
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squ’à ses mouchoirs. Un jour à Barcelone, près de
mourir
de faim, il ne fut sauvé que par une grève générale : l’auberge où il
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ésée lui ayant fait subir ce même supplice, il en
mourut
. C’est l’histoire des États-nations, offrant une hospitalité le plus
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de 18 à 35 ans. (Comme disait Louis Armand : « Il
meurt
tous les jours plus d’anti-Européens qu’il n’en naît. ») Si l’Europe
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e l’avenir, car nous en savons l’essentiel : nous
mourrons
tous. Nous savons que la mort physique (selon le second principe de l