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l’homme, au sens de la personne, est mort ou doit
mourir
bientôt, il n’y aura plus d’Europe digne du nom ; et s’il n’y a plus
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n’était pas Dieu ; n’existant pas, il ne pouvait
mourir
. Et si l’homme, fait à l’image de Dieu, était mort, comment le saurio
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sse sur la nécessité pour le « vieil homme » de «
mourir
». Il n’est question que de « dépouiller le vieil homme », de devenir
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’homme est un doublet empirico-transcendental, il
mourra
donc avec la science cartésienne. Les dégâts resteront limités. On po
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nise » — « L’Europe à la dérive » — « L’Europe se
meurt
» — « L’Europe c’est fini ». Sur les activités des Neuf : « L’Europe
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jours vivantes, mais leur pleine souveraineté est
morte
». Bruère était le pseudonyme de résistance de Michel Debré. À qui se
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qu’une curiosité exotique qui ne vaut ni que l’on
meure
ni qu’on se mobilise pour elle — pauvre “mesure morte” impossible à “
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e ni qu’on se mobilise pour elle — pauvre “mesure
morte
” impossible à “ressusciter”12) » (p. 20-21). La note12) renvoie à mon
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à mort du roi, sans appel ni délai. « Louis doit
mourir
parce qu’il faut que la patrie vive », avait proclamé Robespierre. Lo
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nitive, inéluctable. Comme tout ce qui est né, il
mourra
donc. Mais on voudrait ne pas être entraîné dans sa mort… Les signes
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ujours vivantes mais leur pleine souveraineté est
morte
. » Jacquier était le pseudonyme de Résistance de Michel Debré. 79. D
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s souverainetés nationales. Nous n’accepterons de
mourir
que pour des raisons de vivre. Proclamez ces raisons, faites l’Europe