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, une nouvelle de Jean Giono intitulée « La femme
morte
», qui n’est pas une nouvelle bien faite, mais qui est un peu mieux q
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t un seul et même être ; ils naissent ensemble et
meurent
ensemble, ils sont une seule et même « chair ». C’est une étrange err
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prit ? Cet esprit qui souffle où il veut, et nous
mourons
où nous pouvons, cet esprit qui dansait sur les eaux primitives, et l
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n’a rien à voir avec une survie de l’âme. L’homme
meurt
totalement, parce qu’il est totalement « chair » ; et ce ne sont que
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ient au secours d’une religion, c’est qu’elle est
morte
. Ou qu’elle n’en a plus pour longtemps. Lorsque l’État s’avise d’hono
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ferme, dans les cafés. À tous il tend la Parole «
morte
aux pages » ; mais voici que de toutes parts les signes paraissent su
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a supportent et l’utilisent, qui la créent et qui
meurent
avec elle. L’Arche d’alliance n’est rien s’il n’y a pas le messianism
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sans erreur possible que toute commune mesure est
morte
parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore restaurée. 3. L
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u n’est rien que la liberté du désespoir et qu’il
meurt
de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lig
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a tactique… Si le Français, né malin, ne doit pas
mourir
gogo, la brochure de Vaillant-Couturier fera plus de mal au parti sta
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ue impressionniste (après quoi elle n’a plus qu’à
mourir
). Dès lors tout ce qu’on lui a reproché : désordre, omissions littéra
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n, la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se
meurt
! s’écrie-t-elle. C’est Madame Bastide, la belle-mère. — Qu’a-t-elle
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ux pas qu’on lave aujourd’hui ! Ma belle-mère est
morte
cette nuit. Il ne faut pas se moquer des gens en deuil ! » — Mais, mo
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isir. Il ne peut vivre que dans l’acceptation, et
meurt
dans la revendication. C’est qu’il dépend de l’être et non de l’avoir