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fini, Car il y a plus. J’ai un péché de peur :
mourrai
-je sur la rive Lorsque mon dernier fil aura été filé ? Oh ! Jure par
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nt, par ailleurs, son optimisme, hérité d’une foi
morte
, lui dissimule l’irréparable gravité. La « communion avec la Nature »
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son humanisme, a baptisé l’homme qui ne veut pas
mourir
? » — Il y a des gens qui ont le sens de la gaffe, et le sort, je le
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ément, ce jugement-là : « L’homme qui ne veut pas
mourir
. » Moi. — Il y aurait de l’impertinence à affirmer rien de « précis
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céleste, pourquoi faudrait-il, en effet, que nous
mourrions
totalement à nous-mêmes ? Laissons-nous donc radiographier, tout simp
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de plus que lui ? L’imitation du Christ, c’est de
mourir
en lui et avec lui, — non pas de s’emparer de son message comme d’un
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arer de son message comme d’un prétexte à ne plus
mourir
tout à fait. » Le dirai-je ? Ce dialogue, ces rires et ces affirmatio
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ur du Problème du Bien ! “L’homme qui ne veut pas
mourir
”, c’est exactement ça ! Vraiment, c’est excellent ! » À ce coup, je s
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ou ne pas être », disait Hamlet. Et nous disons :
mourir
ou ne pas mourir. Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’
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disait Hamlet. Et nous disons : mourir ou ne pas
mourir
. Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’est-à-dire revivr
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Hamlet. Et nous disons : mourir ou ne pas mourir.
Mourir
totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’est-à-dire revivre avant
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ir ou ne pas mourir. Mourir totalement, ou ne pas
mourir
tout à fait, c’est-à-dire revivre avant d’être tout à fait mort, — so
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vivre. Entre celui qui affirme qu’on ne peut pas
mourir
, et celui qui affirme l’exigence de la mort, il n’y a peut-être aucun
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héologique ! Où donc est-il, celui qui accepte de
mourir
? Oui, maintenant, je vais vous dire la vérité : Nous sommes tous des
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omme le vivant symbole de l’homme qui ne peut pas
mourir
!… Plaise à Dieu que l’angoisse qui tourmente cet homme depuis sa ren
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n en arrive à se demander pourquoi le Christ a dû
mourir
pour triompher de notre péché, alors que la sagesse antique pouvait f