1 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
1 refuse à cette mort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne pas mourir, selon la parole profondément « dialectique » de Thé
2 ort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne pas mourir , selon la parole profondément « dialectique » de Thérèse d’Avila. Qu’
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
3 , dont Dieu seul juge. John Viénot — qui vient de mourir presque en même temps qu’un autre grand historien protestant, Camille
3 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
4 erser d’un coup cette apparente fatalité. Kipling meurt , et l’on dit : c’était le dernier conteur. La même année paraît le gr
4 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
5 1481. Puis il se retourna dans son ermitage et y mourut . C’est un beau sujet. N’est-ce pas ? Ce drame, avec musique d’Honegge
5 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
6 que chacune d’elles devait fatalement décliner et mourir après une période d’apogée — la nôtre aussi. Aux débuts du xxe siècl
7 fameuse phrase de Valéry : « Si les civilisations mouraient tout à fait, Valéry ne pourrait pas le dire, car il n’en saurait rien
8 s, nous avons depuis peu la certitude que nous ne mourrons jamais entièrement et que nos cendres sont fécondes. Le temps est pas
6 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Denis de Rougemont : l’amour et l’Europe en expert (24 décembre 1970)
9 un homme pouvait penser complètement la mort, il mourrait à cet instant-là. La mort c’est par essence l’inconcevable, donc c’es