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r dont il aurait besoin, qu’il imagine et dont il
meurt
. Car la vie est une espèce de marâtre et n’a que faire de nos tendres
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il faut en témoigner. À tous il tend la Parole «
morte
aux pages », mais voici que de toutes parts les Signes paraissent sur
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he, c’est une forme mystique, celle du terrible «
Meurs
et deviens ! », et s’il l’assume en connaissance de cause, — c’est un
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e « au moins très sévère ». Gagner 40 000 francs.
Mourir
obsédé par ce travail. Ainsi cette vie est bien d’un seul tenant ; un
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ît de la loi et s’y réfère. Mais le péché naît où
meurt
la foi, et meurt là où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, J
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’y réfère. Mais le péché naît où meurt la foi, et
meurt
là où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, Jouhandeau oppose
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entre un régime bourgeois odieux, raté, dont nous
mourrons
, — et d’autre part une espérance, une utopie, qu’il nous est impossib
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te par exemple que « déjà vieux et ne voulant pas
mourir
, il s’adressa au diable qui lui conseilla de se faire enterrer pour u
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eu d’air pénétra dans le cerveau et Paracelse dut
mourir
avant d’avoir ressuscité ». Rajeunir son corps et son âme par l’ordur
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tiquement, elle perd tout point d’appui, son élan
meurt
en anarchie. La solution de ce conflit est évidente, c’est peut-être
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e mollesse spirituelle » l’amère passion de faire
mourir
un témoin de la vérité ? Si tu veux ce résultat… apprends d’abord à b
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essais religieux : La Pureté du cœur, Le Droit de
mourir
pour la vérité, Pour un examen de conscience, Le Souverain sacrificat
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et Dieu, car lui seul eut vraiment « le droit de
mourir
pour la vérité », étant lui-même la vérité. C’est pourquoi l’acte de
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ier autre chose que ce reste ? 38. Le droit de
mourir
pour la vérité, p. 57. Ou encore : « La supériorité véritable produit
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ve quelque chose. Et s’il n’arrive rien ? « On ne
meurt
pas de faim dans nos pays », dit-on, et je crois bien que je l’ai dit
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ie étale nous ennuie, c’est ce qui naît et ce qui
meurt
qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher, j’ai été voir a
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le, inaugurée par un traité avec le diable, vient
mourir
dans la nuit de Noël au rythme familier des marteaux de la forge rebâ
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Ô haine de leurs vérités faibles ! La Vérité est
morte
! Revivra-t-elle ? Car si ce Dieu est mort à tout jamais, il n’y a p
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-cent-quarante-neuf-milliards d’années, le Brahma
meurt
, l’univers retourne au grand Chaos pour une durée égale, puis un autr
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elle sait bien qu’ils ont partie liée, et qu’elle
mourra
si elle le tue. Elle se contente alors de le maudire, de le traiter e
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’ils en vivent plus ou moins bien, et même qu’ils
meurent
parfois pour leurs croyances. Nous voyons ce que l’Orient est resté