1 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
1 s donc dans le domaine du sacré. Glissez mortels, mourrez sans résister… En somme, j’aurais bien tort de ricaner. Tout le monde
2 qu’il y ait là quelque consolation. L’amertume de mourir est aussi faite de l’idée qu’on manquera la suite de l’histoire. C’es
3 l est vrai qu’ils croyaient le Jugement imminent, mouraient avec une grande facilité sous la main des nazis de l’époque. Saint Pa
4 inthe : « Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’
2 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
5 Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)f Il était venu
6 re d’espérance. f. « Roger Breuil qui vient de mourir était un grand écrivain », Réforme, Paris, n° 156, 13 mars 1948, p. 7
3 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
7 . Une sainte alliance des souverainetés dont nous mourons ne nous rendrait pas davantage la vie. Nos frontières, nos cordons do
4 1980, Réforme, articles (1946–1980). Les Nations unies des animaux (13 décembre 1980)
8 urris au tube de caoutchouc et à la seringue, qui mourront sans avoir jamais ouvert les yeux sur une prairie ensoleillée. Parle
9 les animaux plus que nous soient susceptibles de mourir d’émotion tend à prouver qu’ils sont plus capables que nous d’une cer