1 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
1 j’ai bu, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat, ivre ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit5. Ce
2 u primauté de l’économique ? 5. « Les généraux meurent dans leur lit. » 6. On compose des affiches péremptoires signées de
2 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
3 que, pour entrer dans le Royaume de Dieu, il faut mourir  ? Que toutes les promesses du Christ concernent la vie de celui qui d
4 ’instant même où ils obéissent au « suivez-moi », meurent au monde, et Le suivent. Les unes sont historiques, les autres éterne
3 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
5 e un régime bourgeois odieux, raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance, une utopie, qu’il nous est impossibl
4 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 faut craindre, mais bien plutôt que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir. Mais d’où vient encore la révolte ? Si
7 t que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir . Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ?
8 ien connaître de la nature du litige humain. Nous mourrons de la mort des singes.) Perspectives (II) Avantage du personnal
5 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
9 encer. Car la Révolution commence par ce qui fait mourir un parlement : par une décision, par un acte. Commencer la Révolution