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l’héroïsme. Le héros chrétien n’est pas celui qui
meurt
glorieusement pour la puissance de sa race, mais celui qui croit humb
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marades » dont parle le Horst Wessel Lied, et qui
moururent
sous les coups de la « Reaktion » et du « Rotfront », savaient-ils ce
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a peut-être, ou révélera fausse et mauvaise. Pour
mourir
« en connaissance de cause », il faudrait être à même d’anticiper pro
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ins quelques siècles d’histoire. Le chrétien seul
meurt
dans la certitude, parce que sa foi lui a révélé la fin absolue de l’
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ennemis », on nous explique que c’est une lettre
morte
(toter Buchstabe), et qui ne peut plus « nous aider ». En effet. Tout