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ienne, avec Prague, c’est une Europe qui vient de
mourir
. Europe du sentiment, patrie de nostalgie de tous ceux qu’a touchés l
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mencent les tranchées de la guerre, et des hommes
meurent
. Pourquoi cette guerre, pourquoi ces morts ? D’abord, et techniquemen
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vous êtes bombardés chaque nuit et que vous allez
mourir
de faim ? » Nous la rassurons. Tout se réduit à quelques bombes jetée
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cœur, je l’ai vu chanceler, j’ai vu qu’elle peut
mourir
. J’ai vu la France toute pareille à un homme qui vient de tomber sur
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ix se trompent, il n’y a pas de paix. Et ceux qui
meurent
doutent de l’utilité de leurs efforts et de leur sacrifice, mauvais t
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e, ce fut un soir, adieu. Demain la vie précieuse
mourra
, dans le printemps léger. ⁂ New York, 8 mai 1941, nuit Nicola
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se dans une cour : cela s’appelle un asado. On en
mourrait
sans le maté, dont on suce quelques petites gorgées brûlantes et amèr
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erait-ce d’être un grand écrivain dans une langue
morte
? Ou dans une langue parlée seulement par une petite peuplade dispers
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mes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer
morte
de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’Océan