1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 ienne, avec Prague, c’est une Europe qui vient de mourir . Europe du sentiment, patrie de nostalgie de tous ceux qu’a touchés l
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 mencent les tranchées de la guerre, et des hommes meurent . Pourquoi cette guerre, pourquoi ces morts ? D’abord, et techniquemen
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 vous êtes bombardés chaque nuit et que vous allez mourir de faim ? » Nous la rassurons. Tout se réduit à quelques bombes jetée
4 cœur, je l’ai vu chanceler, j’ai vu qu’elle peut mourir . J’ai vu la France toute pareille à un homme qui vient de tomber sur
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 ix se trompent, il n’y a pas de paix. Et ceux qui meurent doutent de l’utilité de leurs efforts et de leur sacrifice, mauvais t
6 e, ce fut un soir, adieu. Demain la vie précieuse mourra , dans le printemps léger. ⁂ New York, 8 mai 1941, nuit Nicola
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 se dans une cour : cela s’appelle un asado. On en mourrait sans le maté, dont on suce quelques petites gorgées brûlantes et amèr
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
8 erait-ce d’être un grand écrivain dans une langue morte  ? Ou dans une langue parlée seulement par une petite peuplade dispers
7 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
9 mes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’Océan