1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 ès d’un million d’années (paraît-il) qu’il vit et meurt et pense un peu, « l’homme » a tellement changé — et ses conceptions
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
2 ne signifie rien — et dans ce cas il ne peut pas mourir  ; ou bien il signifie la Vie, l’Éternité, le Total, l’Être en soi, l’
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
3 nt fort beaux, mais qui probablement n’ont pas dû mourir sans raison. N’oublions pas que le gothique était moderne au Moyen Âg
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
4 rment « passionnant » au bonheur plat ; elle fait mourir un homme pour l’image d’une femme dont il n’est pas sûr qu’il l’aimer
5 dans la mesure où elle constitue un interdit, et meurt lorsqu’elle est universellement approuvée. Nous pourrions limiter ses
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
6 ain, et les guerres se déchaîner, et les chômeurs mourir de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas converti. J’agirai donc,
7 fets dans le monde réel où vivent les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques que s’adressent les chrétiens et
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
8 te, on culmine, on chancelle, on décline, et l’on meurt fatalement — se verront démenties par le nouvel essor d’une Europe re