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ès d’un million d’années (paraît-il) qu’il vit et
meurt
et pense un peu, « l’homme » a tellement changé — et ses conceptions
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ne signifie rien — et dans ce cas il ne peut pas
mourir
; ou bien il signifie la Vie, l’Éternité, le Total, l’Être en soi, l’
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nt fort beaux, mais qui probablement n’ont pas dû
mourir
sans raison. N’oublions pas que le gothique était moderne au Moyen Âg
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rment « passionnant » au bonheur plat ; elle fait
mourir
un homme pour l’image d’une femme dont il n’est pas sûr qu’il l’aimer
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dans la mesure où elle constitue un interdit, et
meurt
lorsqu’elle est universellement approuvée. Nous pourrions limiter ses
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ain, et les guerres se déchaîner, et les chômeurs
mourir
de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas converti. J’agirai donc,
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fets dans le monde réel où vivent les hommes — où
meurent
les hommes. Reproches réciproques que s’adressent les chrétiens et
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te, on culmine, on chancelle, on décline, et l’on
meurt
fatalement — se verront démenties par le nouvel essor d’une Europe re