1 insi comprise y soit encore un but, et non pas un moyen . Ailleurs, elle est mise au service du développement de l’industrie,

2 a liberté. Cela signifie ensuite : harmoniser les moyens et les fins de l’existence ; s’efforcer de rapporter sans cesse toute

3 paix du monde. Il reste à trouver la méthode, les moyens d’une action immédiate. Ici, les choses cessent d’être simples, parce

4 er qu’on y parvienne enfin, en combinant tous les moyens connus de simplification du genre humain, du penthotal au plutonium e

5 e. Si vous voulez la paix, vous devez vouloir ses moyens  : l’Europe unie est le plus sûr ; si vous voulez l’Europe, vous devez

6 re la fin, qui est l’union, qu’en renonçant à des moyens impérialistes, lesquels ne peuvent conduire qu’à l’unification, caric

7 ’on pressent à gauche et à droite. (C’est le vrai moyen de la passionner.) Mimer enfin, par anticipation sur l’issue de nos e

8 riel, la vitesse de nos déplacements, et la durée moyenne de la vie. L’effort métaphysique et religieux s’est relâché à partir

9 u par une victoire totale, il s’en faut, mais les moyens de cette victoire sont désormais entre nos mains. La principale résis

10 ique à laquelle, pour ma part, je n’imagine aucun moyen de me soustraire : Devant le nez des premiers enthousiastes de la Pla

11 paix du monde. Il reste à trouver la méthode, les moyens d’une action immédiate. Ici, les choses cessent d’être simples, parce

12 ur la vaincre. ⁂ J’en reviens à la méthode et aux moyens d’action. Aux impatients qui rêvent d’unifier le genre humain dans le

13 sition, un seul type de drug-store, et une morale moyenne , dont l’idée générale est justement d’éviter les conflits quotidiens

14 er qu’on y parvienne enfin, en combinant tous les moyens connus de simplification du genre humain, du penthotal au plutonium e

15 fait d’en devenir un lui-même. C’est le plus sûr moyen d’en trouver. Une bataille est en train de se livrer pour l’Europe. N

16 Si nous voulons la paix, nous devons vouloir ses moyens  : l’Europe unie est le plus sûr ; si nous voulons l’Europe, nous devo

17 fédérer l’Europe ? Parce qu’il n’y a pas d’autre moyen imaginable d’empêcher la guerre atomique. Fédérer nos pays, c’est, en

18 dépendance européenne, qui est à son tour le seul moyen de prévenir une guerre livrée à nos dépens. Tels sont les buts concre

19 ais il faut informer ce sentiment, lui donner des moyens d’expression, le rendre enfin conscient et agissant. Telle est la tâc

20 frir aux forces culturelles de toute l’Europe les moyens pratiques de « s’engager » dans l’œuvre du mouvement fédéraliste ; d’

21 la Suisse. Dans quatre écoles belges (communale, moyenne , normale et un lycée) la preuve a été faite que tout peut se passer s

22 trouve que d’autres continents nous ont ravi les moyens matériels de la puissance, et nous en ont en quelque sorte purifiés.

23 e ne peut assurer l’indépendance européenne, seul moyen de prévenir la guerre. Tels sont les buts concrets que se sont assign

24 ’agit maintenant de l’informer, de lui donner des moyens d’expression, de le rendre conscient et agissant. Telle est la tâche

25 nce indépendante ? Et c’est ensuite une étude des moyens qui pourront assurer cette existence ; des mesures pratiques et insti

26 des cadres nationaux, ne doivent pas chercher des moyens de correspondre un peu plus facilement de prison à prison. Elles doiv

27 enant, pour quelles fins réelles voulons-nous ces moyens de culture, et cette éducation d’une conscience commune de l’Europe ?

28 ion de nos pays, qui sera leur seul salut, par le moyen d’une renaissance de leur culture dans la liberté de l’esprit, qui es

29 rideau de fer ; mais nous pensons que le meilleur moyen de ramener vers l’Occident les peuples séparés, c’est de leur offrir

30 anisée. Nous tenterons, sobrement, de trouver les moyens qui permettent le libre exercice de nos vocations tourmentées ; des m

31 libre exercice de nos vocations tourmentées ; des moyens de vivre, oui, mais selon notre foi, sans renier nos raisons de vivre

32 qui disent clairement leur fin et qui exigent ses moyens , je les appelle fédéralistes. Il n’est pas juste de les considérer co