1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’entends pas ? » — Mais plus que le corps en mouvement, c’est
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 qu’odeurs, formes mouvantes, remous dans l’air et musiques sourdes. Penser serait sacrilège, comme une barre droite au travers d
3 la place régulière, les galeries, les cafés, les musiques , Donizetti qui pleure délicieusement jusque dans les gestes des passa
4 rante, intérêts, politesses, politiques, regards, musiques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve éternisé des plus vo
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
5 din des songeries les plus étranges qu’appelle la musique . Je me gardai donc d’ouvrir le journal. Les Petites nouvelles ont un
6 es lustres doraient un brouillard de fumée, et la musique noyait mes pensées. Je vis qu’une femme était assise à notre table, e
7 rs. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et la rumeur des clients. Dehors les réclames lumineuses dialoguaient
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 êlé à des forces inconnues et menaçantes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort mê
9 ’est une chose singulière que le pouvoir de cette musique . Voici que vous êtes tout près de comprendre… Mon voisin avait parlé
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 nage se rapprochent, tournoyent lentement dans la musique . Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui
11 u’il est bon qu’il y ait le monde… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence