1
as de Flue , la nouvelle œuvre qu’Honegger met en
musique
sur un texte de Denis de Rougemont. Elle sera représentée à l’Exposit
2
i, la pipe à la bouche, notre conversation. Et la
musique
? D’abord, je vous dirai qu’il y a 30 parties musicales et que le cho
3
ro 1 du spectacle. Exactement. Et j’ai composé ma
musique
en tenant compte de cette particularité. Les chœurs avanceront, monte
4
rs s’expriment comme les chants d’oratorios et la
musique
les soutiendra. Seul un mot, parfois une phrase, émergera de la masse
5
Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont, mis en
musique
par Arthur Honegger », La Patrie suisse, Genève, n° 27, 8 juillet 193
6
enfin un petit ensemble d’excellents amateurs de
musique
plus savante : le chœur « Sine Nomine », à Neuchâtel même. J’utiliser
7
end du plan 3 au plan 2. Deux mots à propos de la
musique
. On a défini le Festspiel suisse comme résultant de la conjonction du
8
pour aboutir organiquement à l’intervention de la
musique
ou du cortège, dans les moments où l’intérêt se déplaçait du héros ce
9
rter l’amplification par les haut-parleurs. Et la
musique
intervient soit pour souligner le sentiment qui se dégage d’un dialog
10
éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une
musique
de radio on ne sait d’où venue, dominant tout. Des trompettes solenne
11
nt la première. Cette légende dramatique, dont la
musique
est d’Arthur Honegger, sera jouée en oratorio, c’est-à-dire dans sa p
12
use d’accepter la vie instinctive, un peu plus de
musique
, un peu moins de scrupules, un peu plus d’énergie et moins d’esprit c