1 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
1 as de Flue , la nouvelle œuvre qu’Honegger met en musique sur un texte de Denis de Rougemont. Elle sera représentée à l’Exposit
2 i, la pipe à la bouche, notre conversation. Et la musique  ? D’abord, je vous dirai qu’il y a 30 parties musicales et que le cho
3 ro 1 du spectacle. Exactement. Et j’ai composé ma musique en tenant compte de cette particularité. Les chœurs avanceront, monte
4 rs s’expriment comme les chants d’oratorios et la musique les soutiendra. Seul un mot, parfois une phrase, émergera de la masse
5 Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont, mis en musique par Arthur Honegger », La Patrie suisse, Genève, n° 27, 8 juillet 193
2 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
6 enfin un petit ensemble d’excellents amateurs de musique plus savante : le chœur « Sine Nomine », à Neuchâtel même. J’utiliser
7 end du plan 3 au plan 2. Deux mots à propos de la musique . On a défini le Festspiel suisse comme résultant de la conjonction du
8 pour aboutir organiquement à l’intervention de la musique ou du cortège, dans les moments où l’intérêt se déplaçait du héros ce
9 rter l’amplification par les haut-parleurs. Et la musique intervient soit pour souligner le sentiment qui se dégage d’un dialog
3 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
10 éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une musique de radio on ne sait d’où venue, dominant tout. Des trompettes solenne
4 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
11 nt la première. Cette légende dramatique, dont la musique est d’Arthur Honegger, sera jouée en oratorio, c’est-à-dire dans sa p
5 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
12 use d’accepter la vie instinctive, un peu plus de musique , un peu moins de scrupules, un peu plus d’énergie et moins d’esprit c