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us n’est vraiment éclos, vraiment abouti ; aucune
musique
n’est parfaite, aucun livre n’est parfait, aucun tableau n’est parfai
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e tout bel canto peut-on dire. C’est le ton de la
musique
de Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la création du monde.
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u café de leur commerce, emboîtant le pas à leurs
musiques
militaires, fier des mouvements de sa ville… ». Voilà l’anti-Lanson q
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faire. Elles ont été grandes tour à tour, dans la
musique
ou la peinture, la poésie ou la philosophie. Et peut-être ne serons-n
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de mécanismes qui répondent à leur place ; et de
musiques
qui empêchent d’entendre le silence. Ils s’imaginent qu’un certain no