1 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
1 tache de crème fouettée ? Budapest : une vague de musique tzigane vous emporte dès l’entrée. Un violon vient vous siffler à l’o
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
2 t de nombreuses activités sociales, programmes de musique sacrée, annonces détaillées des services que célébreront les principa
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
3 s, et enfin l’art moderne tout entier : peinture, musique , littérature, poésie, théâtre et sculpture ; presque tous leurs grand
4 bourg. Voilà ce que l’Europe a su faire. Toute la musique est née du contrepoint de l’Europe. Vous êtes, Messieurs, les députés
4 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
5 ontre, en somme, qu’un athée ne peut pas faire de musique . Pas davantage que Descartes, Ansermet ne se fonde sur le dogme, sur
6 er en moins de cent pages de ses Fondements de la musique ce qu’il nomme sa « phénoménologie de Dieu », qui est en même temps u
7 science par l’affectivité, et par elle seule ! La musique , phénomène affectif conditionné par des structures physico-mathématiq
8 oncevable sans Dieu. Elle cesse donc d’être vraie musique chez ceux de nos contemporains qui ont sciemment abandonné « le proje
9 Dans ce contexte, une autre thèse me frappe : la musique est d’Europe, essentiellement, parce qu’elle est née, comme tous nos
10 surtout, condamner radicalement presque toute la musique contemporaine au nom d’une théologie que, d’autre part, nos docteurs