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rs romantiques allemands, aussi peut-être dans la
musique
de Schubert, dans tout ce qui sourd de cette Weltschmerz qui n’a pas
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sance de l’écriture, sans égale parmi nous, cette
musique
d’un cœur qui s’abandonne, qui s’accepte. C’est cela qui fait la qual
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és dans une double contradiction. Romans, poèmes,
musique
, l’art et la littérature nous représentent la passion comme un paroxy
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’est un beau sujet. N’est-ce pas ? Ce drame, avec
musique
d’Honegger, sera représenté dans un théâtre en plein air, devant cinq
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utes les grandes écoles d’art, d’architecture, de
musique
, de philosophie, de littérature et de doctrine sociologique ou politi