1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 tout bel canto, peut-on dire. C’est le ton de la musique de Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la création du monde.
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
2 le casque aux cheveux, tête farcie, oui farcie de musique , de musique, de musique, de cette abrutissante musique, parfois coupé
3 x cheveux, tête farcie, oui farcie de musique, de musique , de musique, de cette abrutissante musique, parfois coupée, Dieu merc
4 ête farcie, oui farcie de musique, de musique, de musique , de cette abrutissante musique, parfois coupée, Dieu merci, d’un mono
5 ue, de musique, de musique, de cette abrutissante musique , parfois coupée, Dieu merci, d’un monologue financier ou de hoquets p
6 gue financier ou de hoquets publicitaires. “De la musique avant toute chose…” Oh ! vous ne diriez plus cela, Verlaine ! » (page
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
7 les problèmes du temps et de tous les temps : la musique occidentale, les méfaits de Cicéron, le commerce des vins dans la val
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
8 anatomie, de la géographie à l’acuponcture, de la musique à la théologie, à l’agriculture, à l’obstétrique, à la vénerie, à l’o
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
9 stique paysanne, de goût de « l’authentique », de musique russe, d’avant-garde ascétique, d’humour vaudois et de cosmopolitisme