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même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de
musiques
, soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vieux temps »
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éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une
musique
de radio on ne sait d’où venue, dominant tout. Des trompettes solenne
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épétition de mon drame, Nicolas de Flue , mis en
musique
par Arthur Honegger, la radio brusquement interrompit les conversatio
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ces nuits de Vienne, élégantes passions égarées,
musique
aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataill
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nc obscurcir ce spectacle et le souvenir de cette
musique
ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’est encore Valéry qui écrivait p
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nde salle de concerts de la ville. Triomphe de la
musique
d’Honegger. Salué pour lui. 15 mai 1941 Recette pour vivre de
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, 18 juillet 1941 C’était ce qu’il fallait ces
musiques
, ces orchidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de fleurs dans
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ve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de
musiques
nostalgiques. Plus que dix jours pour acquérir, dans cette aimable bo