1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de musiques , soudain se fixe en nos mémoires, s’idéalise. Un « bon vieux temps »
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une musique de radio on ne sait d’où venue, dominant tout. Des trompettes solenne
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
3 épétition de mon drame, Nicolas de Flue , mis en musique par Arthur Honegger, la radio brusquement interrompit les conversatio
4 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 ces nuits de Vienne, élégantes passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataill
5 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
5 nc obscurcir ce spectacle et le souvenir de cette musique ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’est encore Valéry qui écrivait p
6 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 nde salle de concerts de la ville. Triomphe de la musique d’Honegger. Salué pour lui. 15 mai 1941 Recette pour vivre de
7 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 , 18 juillet 1941 C’était ce qu’il fallait ces musiques , ces orchidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de fleurs dans
8 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
8 ve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiques nostalgiques. Plus que dix jours pour acquérir, dans cette aimable bo