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nsparence, la synchronisation des gestes et de la
musique
, vingt autres procédés moins faciles à définir, en deux mots : voilà
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n bien correct et bien banal. On essaie de parler
musique
, Mozart et Stravinsky — deux des principales victimes de son film. Il
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’un ton neutre : « Mrs. Walt Disney n’aime pas la
musique
classique. » Un froid, et chacun pense : Que ne l’a-t-elle empêché de
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t de nombreuses activités sociales, programmes de
musique
sacrée, annonces détaillées des services que célébreront les principa
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et fort souvent, avec une visible ferveur. Et la
musique
est belle, et les voix justes, et l’ordonnance du culte sans défaut.