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rd’hui couramment de la peinture française, de la
musique
allemande, de la science russe, ou que sais-je, du folklore danois, b
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e ces choses n’existe en réalité. La peinture, la
musique
, la littérature même — qui tient pourtant de si près aux langues — so
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ui. Si vous prenez, par exemple, l’histoire de la
musique
dans ses grands traits, vous voyez qu’elle commence dans plusieurs fo
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pprendre leur métier ; qu’ensuite, le foyer de la
musique
devient l’Allemagne, au xixe siècle seulement ; que c’est en Allemag
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: « La peinture, c’est à moi, et je te laisse la
musique
si tu veux. » Quant aux sciences, il serait simplement absurde de vou