1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
1 maux de la guerre par mon message, comme par une musique tout harmonieuse, et sinon je serais grandement coupable devant Dieu
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
2 méridionale, d’une poésie de l’imagination, d’une musique , d’un art, d’une sagesse des mœurs, d’une science qui forment le patr
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
3 au sommet de l’échelle des êtres et à faire de la musique éternelle et inépuisable de l’univers le tic-tac monotone d’un immens
4 t tourner en rond, jusqu’à ce que sensibles à une musique sacrée et par elle adoucies, elles se rendent toutes ensemble au pied
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
5 met au premier rang les moralistes français et la musique non romantique, les valeurs dures, nettes, sans mélange. Quant au cha
6 n européanisme ».254 L’exemple privilégié de la musique , cette création essentiellement européenne, permet de suivre le proce
7 âme plus que jeune, à venir, qui surgit ; sur sa musique est épandue la lueur crépusculaire d’une éternelle déception, et d’un
8 qui chantait en Beethoven ! Puis ce fut, dans la musique allemande, le tour du romantisme : mouvement historique plus court en
9 a démocratie montante. […] Schuman était déjà, en musique , un fait purement allemand, et n’était plus ce qu’avait été Beethoven
10 t degré, un phénomène européen ; — et avec lui la musique allemande courait cet immense risque de cesser d’être la voix par où
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
11 ription sur le mur que tracent notre art et notre musique actuels ? Si peu nombreux, les gens capables de méditer sur la mort d
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
12 ar et de Napoléon, de Pétrarque et de Kant, de la musique allemande de Bach à Beethoven, de la peinture française d’Ingres à Cé
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
13 ie, la sphère aurait pour mesure Shakespeare ; en musique , Bach ou Beethoven ; en mathématiques, Newton et Leibniz, et ainsi de
14 et ordre d’idées, nous avions oublié de nommer la musique . N’oublions pas non plus que c’est bien l’homme d’Europe qui n’a pas
15 aux Rythmes. Chacune de ces langues a apporté sa musique propre, et la richesse poétique de l’anglais consiste surtout dans la
16 , Écossais et Irlandais continuent à exprimer des musiques différentes… Et je pense que la raison pour laquelle l’anglais est un