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maux de la guerre par mon message, comme par une
musique
tout harmonieuse, et sinon je serais grandement coupable devant Dieu
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méridionale, d’une poésie de l’imagination, d’une
musique
, d’un art, d’une sagesse des mœurs, d’une science qui forment le patr
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au sommet de l’échelle des êtres et à faire de la
musique
éternelle et inépuisable de l’univers le tic-tac monotone d’un immens
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t tourner en rond, jusqu’à ce que sensibles à une
musique
sacrée et par elle adoucies, elles se rendent toutes ensemble au pied
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met au premier rang les moralistes français et la
musique
non romantique, les valeurs dures, nettes, sans mélange. Quant au cha
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n européanisme ».254 L’exemple privilégié de la
musique
, cette création essentiellement européenne, permet de suivre le proce
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âme plus que jeune, à venir, qui surgit ; sur sa
musique
est épandue la lueur crépusculaire d’une éternelle déception, et d’un
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qui chantait en Beethoven ! Puis ce fut, dans la
musique
allemande, le tour du romantisme : mouvement historique plus court en
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a démocratie montante. […] Schuman était déjà, en
musique
, un fait purement allemand, et n’était plus ce qu’avait été Beethoven
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t degré, un phénomène européen ; — et avec lui la
musique
allemande courait cet immense risque de cesser d’être la voix par où
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ription sur le mur que tracent notre art et notre
musique
actuels ? Si peu nombreux, les gens capables de méditer sur la mort d
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ar et de Napoléon, de Pétrarque et de Kant, de la
musique
allemande de Bach à Beethoven, de la peinture française d’Ingres à Cé
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ie, la sphère aurait pour mesure Shakespeare ; en
musique
, Bach ou Beethoven ; en mathématiques, Newton et Leibniz, et ainsi de
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et ordre d’idées, nous avions oublié de nommer la
musique
. N’oublions pas non plus que c’est bien l’homme d’Europe qui n’a pas
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aux Rythmes. Chacune de ces langues a apporté sa
musique
propre, et la richesse poétique de l’anglais consiste surtout dans la
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, Écossais et Irlandais continuent à exprimer des
musiques
différentes… Et je pense que la raison pour laquelle l’anglais est un